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Un printemps à New-York

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Céline Gobert

2015-03-27 08:30:00

Cet avocat a traversé la frontière américaine et rejoint les rangs de White & Case dans la Grosse Pomme après plus de cinq années passées chez Stikeman Elliott à Montréal. Pourquoi ? Qui est-il ?

Me Adam Cieply a rejoint, en ce mois de mars, l’équipe du groupe corporatif de White & Case à New-York
Me Adam Cieply a rejoint, en ce mois de mars, l’équipe du groupe corporatif de White & Case à New-York
C’est tout simplement parce qu’il a senti que c’était le « bon moment » pour lui que Me Adam Cieply a rejoint, en ce mois de mars, l’équipe du groupe corporatif de White & Case à New-York.

« Je sentais que c’était le bon moment pour ma carrière d’accepter l’opportunité de travailler sur des transactions internationales plus complexes », explique celui qui est membre des barreaux du Québec et New-York depuis 2010, et titulaire d’un baccalauréat en droit civil et common law de McGill.

Chez White & Case, l’avocat originaire de Montréal planche sur des dossiers de fusions et acquisitions, concernant autant des groupes publics que des transactions privées. Dans son domaine, la pratique est plutôt similaire des deux côtés de la frontière, explique l’ancien de Stikeman Elliott.

Son déménagement aux États-Unis a surtout été motivé par une décision de carrière lui permettant d’être impliqué dans des mandats de grande envergure, et ce dans un cabinet d’avocats global. « Vivre dans une ville de classe mondiale comme New-York est une valeur ajoutée. »

Séduit par l’international

Ce qui l’a attiré chez White & Case, c’est véritablement le « côté international de la firme » qui possède 39 bureaux dans le monde et une pratique en fusions et acquisitions « très réputée. » Ce qui change du point de vue structurel, c’est évidemment la taille du cabinet, avec ses 2000 avocats dans le monde, et la façon « homogène », dit-il, dont les différents bureaux sont connectés.

Cependant, même à l’affût de tous les défis et opportunités que l’avenir lui réserve, Me Cieply ne regrette aucunement ses plus de cinq années passées chez Stikeman Elliott à travailler sur des transactions canadiennes qu’il qualifie comme « pleines de défis » mais également sur des opérations transfrontalières impliquant des clients étrangers, américains ou canadiens.

« J’ai aussi eu la chance de travailler et d’apprendre auprès des meilleurs et des plus talentueux avocats du Canada », conclut-il.
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