Un avocat violenté, une loi ambigüe et un Tanguy poursuivi par ses parents

Un avocat complice de son propre vol

La scène s’est déroulée au Luxembourg, dans la capitale de ce petit État d’Europe, en début d’année. Les appels à témoin viennent en revanche d’être lancés pour retrouver trois hommes qui ont tabassé un avocat en pleine rue.

Alors qu’un jeune avocat et son client se stationnaient au centre-ville, trois hommes sont sortis de leur véhicule armés et cagoulés. Ils ont ensuite menacé l’avocat et son client avant de les passer à tabac, rapporte le journal RTL Info.

L’objet de toute cette violence? Une mallette contenant 1,3 million d’euros, soit près de 2 millions de dollars qui devaient être déposée le jour-même à la banque.

Mais l’enquête a révélé un détail curieux: l’avocat aurait fourni des informations aux braqueurs! Il vient d’être inculpé pour complicité… En revanche, la police est toujours à la recherche des trois autres hommes.

Un homme déguisé en mascotte arrêté

La loi anti voile intégral entrée en vigueur le 1er octobre en Autriche interdit que le visage soit entièrement recouvert… Une situation qui a depuis donné lieu à une arrestation plutôt absurde.

Ainsi, une mascotte a été arrêtée la semaine dernière et a écopé d’une amende de 150 euros (220 dollars) parce qu’il était déguisé en requin.

L’homme avait été embauché pour danser devant l’entrée d’un nouveau magasin et attirer les clients, rapporte le journal 20 Minutes.

La loi autrichienne vise les femmes qui portent la burqa mais il semblerait que quelques ajustements restent encore nécessaires.

Le Tanguy du chalet en cour

Un couple du Bas-Saint-Laurent a dû aller en cour pour faire sortir leur fils de leur chalet. Ce dernier, qui semblait très attaché à son domicile, refusait en effet de partir et ôtait les affiches « à vendre » plantées sur le terrain, rapporte TVA Nouvelles.

Valmont Pinel et Simone Lebreux avaient laissé leur fils Guy habiter leur chalet de Sainte-Paule voilà cinq ans. Mais le couple a décidé de vendre le chalet en 2016, notamment pour payer les frais de leur résidence pour personnes âgées.

Comme leur fils refusait catégoriquement, ils ont dû lui faire parvenir une mise en demeure, sans succès. Un juge a finalement tranché dans une décision rendue le 27 septembre. « Non seulement n’a-t-il pas quitté les lieux, mais au surplus, le défendeur nuit au processus de vente en ne collaborant pas avec la firme de courtage immobilier mandatée et en retirant les affiches apposées sur le terrain du chalet », écrit le juge Daniel Beaulieu.

Guy Pinel dispose de 10 jours pour quitter le chalet familial, ne plus harceler ses parents et ne pas nuire au processus de vente. Les parents ont proposé à leur fils de l’aider financièrement pour se reloger.