Carrière et Formation
Comment garder vos jeunes talents?
Delphine Jung
2018-03-01 10:15:00
Avec la tendance au « job hoping », garder les jeunes dans les cabinets est devenu un défi en soi pour les gestionnaires...
Elle sera présentée par Danielle Montpetit, présidente et fondatrice de Montpetit, l’entreprise de recrutement, et par Me Marie-Pierre Gravel, directrice, communications et affaires juridiques et conseillère.
La mobilisation réfère au sentiment d’appartenance et vient se heurter à une nouvelle tendance appelée « job hoping ». « Il s’agit d’un terme utilisé pour définir les jeunes qui sautent d’un emploi à un autre. La mobilisation devient donc de plus en plus difficile », explique Mme Montpetit.
Cette tendance s’explique selon elle par le fait que les jeunes sont de plus en plus éduqués et scolarisés. « Ils ont une soif d’apprendre et certains imaginent qu’en changeant d’emploi ils vont assouvir ce besoin et emmagasiner plus de connaissances », dit-elle.
La conférence s’adressera donc aux gestionnaires à qui la présidente va donner des conseils pour investir dans la relève, pour la faire rester le plus longtemps possible.
Les jeunes sont aussi invités. « Ils doivent être conscients des avantages et des inconvénients à faire du job hoping et comprendre quels avantages il y a à se mobiliser », poursuite Mme Montpetit.
De l’autre côté, les employeurs doivent rester sur leurs gardes et investir dans la relève.
Quant au leadership, il s’agit pour Mme Montpetit un « complément » à la mobilisation. « Pour se mobiliser, notre jeune a besoin d’avancer et d’apprendre, d’être responsabilisé », ajoute-t-elle.
La conférence aura lieu le 25 avril de 12h30 à 14h, au 1100 boulevard René-Lévesque Ouest, bureau 1200, à Montréal.
Pour en savoir plus, cliquez ici.
1 commentaire
Anonyme
il y a 6 ansLes employeurs voudraient que les employés ne regardent pas ailleurs alors qu'ils traitent ces derniers comme des ressources jettables.
Ceux qui ne traitent pas les employés comme de la merde on un bon retour sur leur investissement en main d'oeuvre, et les employeurs pourris feignent d'ignorer les causes de roulement, et déclarent publiquement chercher des solutions à un prétendu mystérieux problème.