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Perroquets, masturbation et mort non identifié
Julien Vailles
2018-08-17 13:15:00
Des perroquets volés par leurs gardiens, un policier pris en flagrant délit et un mort qui cause des soucis administratifs… Voici les insolites de cette semaine…
Un couple de Lanaudière a eu une bien mauvaise surprise récemment, semble-t-il. Alors qu’ils avaient confié leurs perroquets à des gardiens pendant une absence prolongée, ils sont revenus pour ne retrouver ni oiseaux, ni gardiens, écrit le Journal de Montréal. Réal St-Pierre et Lorraine Lemaire ont donc conclu que ces derniers étaient partis avec leurs perroquets.
Résultat, ils les poursuivent maintenant devant la Cour des petites créances, leur réclamant 15 000 dollars. Devant l’impossibilité de les joindre et le changement d’adresse des gardiens, ce recours s’imposait, semble-t-il.
Le tout est survenu alors que le couple avait une foi absolue en les gardiens; ils les avaient même invités en Floride avec eux, leur offrant de payer leurs billets d’avions.
L’affaire sera à suivre…
Un policier pris à se masturber dans sa voiture
En effet, Glenn C. Woolard, agent de la paix de la ville de Bethlehem, en Pennsylvanie aux États-Unis, a été accusé de grossière indécence. Il a été surpris en train de se masturber dans sa voiture, raconte TVA Nouvelles.
À sa défense, l’homme plaide qu’il faisait cela uniquement pour se tenir éveillé, alors qu’il rentrait à la maison après son quart de travail de nuit.
Cependant, une femme qui conduisait un camion l’a aperçu et a aussitôt contacté la police. Quelle ne fut pas leur surprise quand ils ont constaté que le numéro de plaque d’immatriculation correspondait à celui d’un collègue…
Alors qu’il démentait d’abord ces allégations, il a fini par admettre les faits. Il a été suspendu depuis l’incident.
Chose curieuse, ce n’était pas la première fois que M. Woolard s’était fait apercevoir pour cette raison. Fin septembre dernier, il avait été encore une fois surpris à se masturber, cette fois dans un stationnement.
Algérien ou Tunisien?
Enfin, un homme de 85 ans décédé en décembre dernier, dans la ville de Lille en France, cause bien des tracas administratifs. Ses proches se battent présentement contre une morgue pour obtenir son corps. L’ennui? Ils ne portent pas son nom et n’ont même pas la même nationalité que lui.
C’est que l’homme aurait été recueilli par une famille algérienne résidant à Tunis, en Tunisie. Et il s’est installé en France à l’époque de la décolonisation de l’Afrique, dans un cauchemar administratif, alors qu’il fallait reconstruire tous les registres de l’état civil.
Heureusement, un juge de Lille vient d’ordonner un prélèvement d’ADN qui devrait clarifier les choses. On l’espère…
1 commentaire
Anonyme
il y a 5 ansSinon l'espace locatif est abordable à Montréal Nord, où pourrait avantageusement être situé un local de rencontre.