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Une entrepreneure chez BCF

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Céline Gobert

2012-04-23 13:15:00

Elle n’a reçu aucune formation juridique, pourtant la voilà directrice du développement des affaires dans un cabinet d’avocats. Elle se confie à Droit-Inc…

D’abord Directrice de la marque Astral, puis co-Présidente de Urb’nlili, start up canadienne, Annick Major travaille, depuis le mois dernier, à la direction du développement des affaires chez BCF.

Même si elle ne dispose d’aucune formation juridique, ses expériences passées lui permettent de déployer une vision de l’entreprise, dynamique et rafraîchissante, qui sied parfaitement aux attentes de BCF.

Défi, aspect humain et salaire; trois raisons qui ont poussé Annick Major à rejoindre BCF
Défi, aspect humain et salaire; trois raisons qui ont poussé Annick Major à rejoindre BCF
« Chez Astral, j’ai appris la vie corporative, compris la communication corporative interne et externe, et acquis la pensée grande entreprise. Chez Urb’nlili, j’ai compris les besoins et la façon de penser du client sur la plan de la communication. »

En outre, BCF remplissait ses trois critères professionnels, explique-t-elle.

« L’aspect défi, l’aspect humain, et le salaire. BCF m’offre les trois. »

Selon elle, un entrepreneur connaît son plan d’action, sait où il va aller. Deux solutions alors à l’interne : soit on adopte la vision de l’associé directeur, soit on pose sa propre façon de voir les choses.

« Mario Charpentier a une très belle façon de voir les choses », dit-elle, à propos de l’associé-directeur de BCF.

Très rapidement, elle va même coupler le développement des affaires au marketing, reprenant les responsabilités de la Directrice actuelle, bientôt en congé maternité.

Un défi qui s’ajoute à d’autres, menés quotidiennement, conjointement avec trois générations d’avocats et de professionnels, le but étant de développer une vision de l’entreprise à l’interne, ce qu’elle nomme "l’intrapreuneurship".

« Il y a les plus âgés, les « baby boomers », qui ont déjà une clientèle bien établie. Puis la génération X, je les aide à développer leur réseau. Et, les jeunes, où il s’agit davantage de mentorat relationnel, de « coaching 101 », explique-t-elle.

« Je n’aurais jamais cru que je viendrais travailler dans un cabinet d’avocats. Si vous m’aviez dit cela, je vous aurais ri au nez. Mais BCF a fait preuve d’un tel dynamisme, d’une telle ouverture, d’un tel désir de grandir ! Cela m’a inspirée. »
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