Nouveau duo chez Joli-Coeur Lacasse

Mes Lisa-Anne Moisan et Guillaume Renauld font leur entrée au bureau de Québec de Joli-Coeur Lacasse, cabinet qui compte près d’une centaine d’avocats à Québec, Trois-Rivières et Montréal.

Me Moisan pratique en litige et plus spécifiquement dans le cadre de poursuites en responsabilité civile. Barreau 2017, elle s’occupe aussi de litiges en droit des sûretés et en droit des assurances.

«J’aime l’approche humaine de Joli-Coeur Lacasse, ainsi que l'éventail des domaines de droit et des champs de pratique », explique à Droit-inc celle qui est d’abord entrée au cabinet comme étudiante, puis stagiaire. « C’est un cabinet de proximité, j’aime l’esprit de collaboration qui y règne.»

De plus, le cabinet implique rapidement ses recrues dans les dossiers, poursuit-elle. «On nous met rapidement dans le bain, on nous fait de la place, on peut être autonomes tout étant bien supervisés par nos mentors. C’est ainsi qu’on se développe».

Diplômée en droit, profil international, de l’Université Laval en 2016, Me Moisan est tout particulièrement intéressée par les droits et libertés de la personne.

«C’est un sujet pour lequel j’ai beaucoup d’intérêt. Les gens peuvent parfois perdre confiance envers le monde juridique, j’aime faire une minime différence pour les accompagner et les réconcilier avec leur expérience.»

Le droit de la santé, le plus «beau» droit

Me Guillaume Renauld, Barreau 2018 et assermenté il y a trois semaines, se joint également à l’équipe pour pratiquer en droit de la santé, droit administratif et droit constitutionnel. L’avocat représente aussi des particuliers et des entreprises dans des dossiers en litige.

«C’est le plus beau droit à mon avis, dit-il à Droit-inc en entrevue, car c’est du droit pur. Il y a très peu de faits, on tombe les deux mains dans la loi, les concepts, c’est un droit très intellectuel.»

Titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université Laval en 2016, il est actuellement candidat à la maîtrise en droit administratif et espère terminer la rédaction de son mémoire en 2019.

«L’équipe est très conciliante, explique l’avocat de 25 ans. On a beaucoup de ressources et on nous appuie beaucoup.»