Deux jeunes avocats pour Décarie!

Mes Sara De Castro et Vincent Lacroix rejoignent le cabinet Décarie Avocats, à Gatineau.

Âgée de 25 ans, Me De Castro a complété son stage du Barreau au sein de la pratique de Me Amélie Samson. Elle y a pratiqué du droit de la famille après son assermentation, jusqu’au moment de son embauche chez Décarie.

« J’ai décidé de changer de cabinet pour diversifier ma pratique », explique à Droit-inc celle qui pratique désormais en droit du travail, de la personne, de la responsabilité civil et du litige successoral.

En tant que junior, la Barreau 2018 se consacre pour l’instant à développer ses compétences dans divers types de droit. Peu importe ses dossiers, sa priorité demeure la même: aider les autres.

« Ce qui me passionne, c’est le contact avec le client, de pouvoir le supporter dans les situations difficiles », raconte-t-elle.

Un juriste globe-trotter

Avant de se joindre à Décarie, Me Lacroix travaillait au sein de la pratique de Me Jean-François Roy, à Saint-Anne-des-Monts. Le natif d’Alma avoue que c’est en grande partie pour déménager dans une ville qui offre plus de services qu’il a choisi de débarquer en Outaouais.

« Sainte-Anne-des-Monts, c’est beau, mais il y a peu de restaurants et d’activités. Les activités culturelles y sont limitées. Je n’étais pas certain de vouloir rester là pour le restant de ma vie », avoue-t-il.

En Gaspésie, l’ancien de l’Université Laval pratiquait surtout du droit criminel et familial. Désormais, sa pratique sera davantage axée sur la droit corporatif et commercial, un changement qui lui plaît.

« Le droit criminel, c’est difficile. Ça demande de la patience, de la disponibilité. En venant ici, je vais pouvoir explorer plusieurs autres domaines du droit », explique-t-il.

C’est en 2018 qu’il a complété son stage au sein de la Ville de Saguenay. Là-bas, il assistait les avocats qui plaidaient à la cour municipale dans des dossiers d’urbanisme et d’appel d’offres. « C’était une bonne première expérience », se remémore-t-il.

Pour la suite des choses, le juriste s’imagine pratiquer du litige civil, de la propriété intellectuelle ainsi que du droit commercial et municipal.

Et à plus court terme, il tente de s’adapter à un environnement où le français et l’anglais cohabitent.

« C’est un défi, parce qu’à Sainte-Anne-des-Monts, les gens parlaient presque exclusivement français! » conclut-il.