Financement
Le Fonds de solidarité FTQ investit 25 millions dans Stella-Jones
L'équipe Droit-inc
2008-04-09 09:00:00
Le Fonds de solidarité FTQ investit 25 millions $ US dans Stella-Jones, une entreprise qui se spécialise dans la production de poteaux de bois pour les sociétés de télécommunication et de traverses de chemin de fer.
Cela porte l'investissement total du Fonds à 45 millions $ CA.
Le nouvel investissement du Fonds a contribué à financer l'acquisition importante de la société The Burke-Parsons-Bowlby Corporation (BPB) qui possède cinq usines de production de traverses de chemin de fer aux États-Unis.
"Nous sommes partenaires de Stella-Jones depuis cinq ans déjà, une entreprise québécoise solide qui a réussi à se tailler une place de choix grâce à une série d'acquisitions stratégiques réalisée au cours des dernières années. Avec cette nouvelle acquisition, elle consolide non seulement son leadership dans son secteur mais également la centaine d'emplois au Québec," soutient Gaétan Morin, premier vice-président aux investissements du Fonds.
"Cette acquisition nous positionne parmi les plus importants producteurs de traverses de chemin de fer en Amérique du Nord. Avec le concours du Fonds, un investisseur patient et accessible, nous sommes en bonne position pour poursuivre la réalisation de notre plan stratégique qui vise à jouer un rôle de consolidateur dans notre industrie en faisant des acquisitions d'entreprises qui oeuvrent dans nos principales catégories de produits," souligne Brian McManus, président et chef de la direction de Stella-Jones.
Stella-Jones (TSX :SJ), dont le siège social est à Montréal et ses usines québécoises à Delson, Sorel et Gatineau, est un des chefs de file nord-américains dans la production et la commercialisation de produits industriels en bois traité sous pression et elle se spécialise dans la fabrication de traverses de chemin de fer traitées sous pression et de poteaux de bois pour les entreprises de services publics dans le domaine de l'électricité et des télécommunications.
Chez Stella-Jones, la transaction a été traitée par leur vice-présidente aux affaires juridiques et secrétaire corporative, Marla Eichenbaum.
Pour le Fonds de solidarité FTQ, la transaction a été pilotée par ses avocates internes, soit Natacha Bernier, conseillère juridique senior et Geneviève MacKay, conseillère juridique au Fonds.
"Nous sommes partenaires de Stella-Jones depuis cinq ans déjà, une entreprise québécoise solide qui a réussi à se tailler une place de choix grâce à une série d'acquisitions stratégiques réalisée au cours des dernières années. Avec cette nouvelle acquisition, elle consolide non seulement son leadership dans son secteur mais également la centaine d'emplois au Québec," soutient Gaétan Morin, premier vice-président aux investissements du Fonds.
"Cette acquisition nous positionne parmi les plus importants producteurs de traverses de chemin de fer en Amérique du Nord. Avec le concours du Fonds, un investisseur patient et accessible, nous sommes en bonne position pour poursuivre la réalisation de notre plan stratégique qui vise à jouer un rôle de consolidateur dans notre industrie en faisant des acquisitions d'entreprises qui oeuvrent dans nos principales catégories de produits," souligne Brian McManus, président et chef de la direction de Stella-Jones.
Stella-Jones (TSX :SJ), dont le siège social est à Montréal et ses usines québécoises à Delson, Sorel et Gatineau, est un des chefs de file nord-américains dans la production et la commercialisation de produits industriels en bois traité sous pression et elle se spécialise dans la fabrication de traverses de chemin de fer traitées sous pression et de poteaux de bois pour les entreprises de services publics dans le domaine de l'électricité et des télécommunications.
Chez Stella-Jones, la transaction a été traitée par leur vice-présidente aux affaires juridiques et secrétaire corporative, Marla Eichenbaum.
Pour le Fonds de solidarité FTQ, la transaction a été pilotée par ses avocates internes, soit Natacha Bernier, conseillère juridique senior et Geneviève MacKay, conseillère juridique au Fonds.
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