Affaires insolites

Pornographie au travail: quatre juges démis de leurs fonctions

À la suite d’une enquête visant à faire la lumière sur les accusations de consommation de matériel pornographique sur leur lieu de travail, trois juges britaniques ont été démis de leurs fonctions : Timothy Bowles, Warren Grant et le juge et greffier Peter Bullock, apprend-t-on dans The Guardian.

Timothy Bowles exerçait à la cour de comté de Romford, Peter Bullock au « North Eastern Circuit » et Warren Grant à la Chambre d’Immigration et d’Asile, basée à Londres.

Un quatrième juge et greffier Andrew Maw, qui exerçait à la cour de comté de Lincoln, a démissionné de ses fonctions lui-même. Il a utilisé son compte virtuel professionnel à de mêmes fins.

« Le visionnement de matériel à caractère pornographique est une conduite « absolument inacceptable » pour un représentant de la loi, a déclaré le Bureau d’investigation sur les conduites judiciaires, refusant de préciser si le pot au rose avait été découvert lors d’un audit de routine ou non.

Le Ministère de la justice, représenté par le Secrétaire d’État à la justice Chris Grayling ainsi que Lord Thomas of Cwmgiedd, le Lord Chief Justice, deuxième magistrat en Angleterre, se sont déclarés « satisfaits » que le matériel n’inclue aucune image d’enfants ou autre contenu illégal. Ils se sont accordés à dire qu’il s’agit tout de même d’une « inexcusable » utilisation d’un matériel professionnel mis à leur disposition.

Les juges n’échangeaient aucune image et n’étaient aucunement liés. Leur licenciement est perçu comme « une sanction nécessaire. » Bien que l’on ne puisse pas faire appel d’une décision du Bureau d’investigation sur les conduites judiciaires, les juges pourront adresser une demande de révision judiciaire.

Rappelons que le visionnement de vidéos pornographiques par un juge ou un représentant de la loi ne constitue pas en soi un délit, mais que ce geste peut en revanche venir sérieusement entamer la confiance que porte le public en ses institutions…

Enceinte de six mois avec 89 sacs d'héroïne en elle - Agence QMI

Vendredi dernier, la police s'est intéressée au véhicule dans lequel était Marina McCarthy, une Américaine de Glen Rock au New Jersey, car la plaque d'immatriculation n'était pas visible. Les agents ont rapidement soupçonné qu'il y avait de la drogue dans la voiture du couple, puisque le conducteur avait déjà un dossier criminel, rapporte le New York Daily News.

Se souciant du confort de la jeune femme de 22 ans enceinte de six mois, le policier lui a menotté les mains sur le devant avant de l'asseoir dans l'autopatrouille. Durant son transport au poste de police, Marina McCarthy en a profité pour camoufler les sachets d'héroïne qu'elle avait dans son pantalon à l'intérieur de son vagin.

Le subterfuge a été découvert une fois que la caméra de surveillance à l'intérieur du véhicule de police a été visionnée. Une agente a été demandée afin de surveiller Marina McCarthy retirer la drogue de son corps. Au total, elle a extrait 89 sachets remplis d'héroïne de son vagin.

Un chien de l'escouade canine a aussi flairé de la drogue dans la voiture des deux suspects.
Marina McCarthy a été accusée de possession de drogue et remise liberté moyennant une caution de 1000 dollars. Son copain a pour sa part reçu un constat d'infraction.