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L'équipe Droit-inc

2016-02-19 13:15:00

Nourrir des écureuils, pactiser avec le Diable, pratiquer la zoophilie au nom de l’autodétermination sexuelle...Tous les prétextes sont bons pour aller en justice…!

Les autorités américaines attaquées en justice pour collaboration avec le diable

Shawna Cox
Shawna Cox
666,666,666,666.66 de dollars, c’est la somme qu’une femme de l’Oregon a réclamé à la justice, accusant les autorités américaines de pactiser avec le diable. Un montant clé puisque le chiffre 666 est, selon certains manuscrits de l'Apocalypse, le « Nombre de la Bête ».

Shawna Cox n’était pas inconnue des autorités puisqu’elle a été amenée à témoigner auprès du FBI lors de l’enquête dans l'affaire du meurtre de Robert "LaVoy" Finicum, un des leaders du mouvement des éleveurs récemment tué lors d'une fusillade avec la police. Selon Shawna Cox, de nombreux manifestants et elle-même auraient été victimes de crimes durant l’intervention de la police, ce qui a motivé sa demande.

Interdire la zoophilie ne viole pas «le droit fondamental à l'autodétermination sexuelle»

En Allemagne, une homme et une femme ont contesté une loi de 2013 qui prévoit que la zoophilie est punie d’une amende de 25000 euros. Plaidant le droit à l’autodétermination sexuelle, droit prévu par la Constitution, et l’insuffisante précision du texte, les plaignants ont tenté de légitimer ainsi leurs pratiques sexuelles.

Ils ont été déboutés de leur demande par la Cour constitutionnelle allemande qui a estimé que « la protection du bien-être animal » face à des « actes contre nature » était un « objectif légitime » pour le législateur allemand.

Accusations abandonnées contre celle qui nourrissait des bébés écureuils

Maria Vaccarella
Maria Vaccarella
Une femme du New Jersey s’est retrouvée devant la justice pour avoir soigné des bébés écureuils. Grâce à un détail de procédure, l’amie des bêtes ne sera pas poursuivie. Maria Vaccarella avait reçu une contravention de l’agent de la Faune après avoir publié, sur les réseaux sociaux, des photos de son quotidien.

Elle avait soigné, avec son mari, une mère écureuil, qui s’était finalement enfuie en abandonnant ses petits. Madame Vaccarella avait alors décidé de prendre soin des deux bébés. Une bonne action qui a bien failli se retourner contre elle.
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