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La veuve d’Arturo Gatti intente une poursuite
L'équipe Droit-inc
2009-08-27 14:25:00
La veuve du boxeur montréalais Arturo Gatti intentera une poursuite contre l'état brésilien de Pernambuco, rapporte l’Associated Press.
Amanda Rodrigues, 23 ans, « a décidé de poursuivre le Pernambuco pour l'avoir emprisonnée pendant 18 jours et pour l'avoir accusée à tort de meurtre », a dit son avocat Celio Avelino, jeudi.
Les policiers brésiliens la tenaient comme suspecte en lien avec la mort de son époux le 11 juillet, à Porto de Galinhas.
Avelino a dit que lui et sa cliente déposeraient les "documents nécessaires" dans environ 20 jours, sans donner d'autres détails.
Rappelons-le, au lendemain de la découverte du corps, la police a dit que Rodrigues avait étranglé Gatti avec la courroie de son sac à main, alors qu'il somnolait en état d'ébriété.
Le 30 juillet, toutefois, après autopsie, les autorités brésiliennes ont révisé leur version et déclaré que Gatti s'était suicidé; Rodrigues a alors été libérée.
Les policiers brésiliens la tenaient comme suspecte en lien avec la mort de son époux le 11 juillet, à Porto de Galinhas.
Avelino a dit que lui et sa cliente déposeraient les "documents nécessaires" dans environ 20 jours, sans donner d'autres détails.
Rappelons-le, au lendemain de la découverte du corps, la police a dit que Rodrigues avait étranglé Gatti avec la courroie de son sac à main, alors qu'il somnolait en état d'ébriété.
Le 30 juillet, toutefois, après autopsie, les autorités brésiliennes ont révisé leur version et déclaré que Gatti s'était suicidé; Rodrigues a alors été libérée.
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4 commentaires
Me
il y a 14 ansElle devrait se faire une bonne amie: Lola. Elles ont tellement en commun ces deux profiteuses.
Me
il y a 14 ansÀ 23 ans on est supposé d'être à l'école, pas mariée avec un gars de 36 ans et avec un flot... aaaaaah, ces gens de basse classe sociale.
Thémis
il y a 14 ansÀ Me...et les autres...
Plutôt que de condamner ces femmes ne serait-il pas approprié de lorgner du côté ces hommes dont les travers les incitent à lorgner du côté des jouvencelles et qui, en se les liant, deviennent les complices de la dépendance de leur belle à leur portefeuille, à l'image, au glamour.
Me
il y a 14 ans>>>> Plutôt que de condamner ces femmes ne serait-il pas approprié de lorgner du côté ces hommes dont les travers les incitent à lorgner du côté des jouvencelles et qui, en se les liant, deviennent les complices de la dépendance de leur belle à leur portefeuille, à l'image, au glamour.
La réponse est non. Le législateur ne reconnaît pas la lésion entre majeurs. C'est valable pour Lola comme pour Mme Gatti. De toutes façons, limiter les partys et avoir resté sur les bancs de l'école, auraient eu comme conséquence, dans les deux cas, de sentir venir des loins les situations quasi-lésionnaires afin de les éviter.