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Un meilleur accès à l'aide juridique…en Ontario
L'équipe Droit-inc
2009-09-08 14:15:00
Le procureur général de l'Ontario souhaite réformer l'aide juridique en y injectant 150 millions de dollars sur quatre ans afin de rendre le système plus accessible aux pauvres.
Chris Bentley en fera officiellement l’annonce aujourd’hui, rapporte Radio-Canada.
Cet investissement sera alloué aux tribunaux de droit criminel et de droit de la famille, ainsi qu'aux cliniques d'aide juridique de l'Ontario.
M. Bentley va également proposer une nouvelle formule de rémunération des avocats afin qu'ils soient payés en fonction du type de cause défendue et non plus selon les heures travaillées.
Depuis juin dernier, les avocats ontariens boycottent le système d'aide juridique provincial en raison de son manque de fonds, et la question de l'accès à la justice pour les les plus pauvres de la province a été un problème récurent pour le gouvernement libéral actuellement au pouvoir.
Cet investissement sera alloué aux tribunaux de droit criminel et de droit de la famille, ainsi qu'aux cliniques d'aide juridique de l'Ontario.
M. Bentley va également proposer une nouvelle formule de rémunération des avocats afin qu'ils soient payés en fonction du type de cause défendue et non plus selon les heures travaillées.
Depuis juin dernier, les avocats ontariens boycottent le système d'aide juridique provincial en raison de son manque de fonds, et la question de l'accès à la justice pour les les plus pauvres de la province a été un problème récurent pour le gouvernement libéral actuellement au pouvoir.
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3 commentaires
Anonyme
il y a 14 ansBon, l'Ontario vire socialiste comme au Québec.
"Des pauvres, y'en aura toujours" - Elvis Gratton.
polaire
il y a 14 ansL'aide juridique ne coûte rien (par rapport à d'autres programmes, et par rapport au budget de l'État), c'est peanuts ... et ça profite à près de 3000 avocats dont certains vont se chercher plus de 100,000$ par année en honoraires!
Aran
il y a 14 ansL'AJBM restera toujours marquée par le regrettable épisode de népotisme entre quelqun qui ne veut rien avoir à faire avec le developpement de la profession au Quebec (puisqu'elle a dégagé depuis) et son protégé-conjoint à la présidence. C'est une honte.