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Recherche avocats-réviseurs désespérément
Natacha Mignon
2009-10-22 08:39:00
Le marché de l’emploi a beau être déprimé, il y a encore quelques branches du droit qui recrutent. Les cabinets ont notamment un urgent besoin d’avocats traducteurs et réviseurs.
« Le marché recrute depuis quelques mois et les postes pour des profils expérimentés sont difficiles à combler, car il y a peu de gens dans le domaine », explique Dominique Tardif, directrice du bureau ZSA à Montréal.
Le décor est planté. Il faut dire que les qualités requises pour ces fonctions sont exigeantes.
« Etre bilingue ne suffit pas », indique Me Tardif. Les personnes recherchées doivent en outre avoir suivi des cours de traduction, aimer la rédaction et jouer avec les mots. Elles doivent également avoir des connaissances en droit des affaires et valeurs mobilières, qui représentent 80 % de l’activité.
Pour un poste de réviseur, ces habilités s’ajoutent à la formation initiale d’avocat, exigée en cabinet pour des questions de responsabilité. Le traducteur juridique lui n’est pas nécessairement avocat.
Où se former ?
La pénurie dans ces métiers et la rareté des profils proviennent peut-être du manque de formation disponible. Déficit qui est en train d’être comblé.
« Pendant longtemps, il n’y a pas eu de formation spécifique. Mais depuis trois ans, une maîtrise en traduction juridique destinée aux étudiants en droit à ouvert à l’Université d’Ottawa, nous indiquait récemment Me Bergeron, associé réviseur chez Mc Carthy et enseignant dans ce cursus. C’est important de former une relève, car on a 50 ans dans la profession en moyenne et les vieux tu ne les fais plus bouger. »
Peut-être une voie à regarder de plus près pour qui a la vocation …
Le décor est planté. Il faut dire que les qualités requises pour ces fonctions sont exigeantes.
« Etre bilingue ne suffit pas », indique Me Tardif. Les personnes recherchées doivent en outre avoir suivi des cours de traduction, aimer la rédaction et jouer avec les mots. Elles doivent également avoir des connaissances en droit des affaires et valeurs mobilières, qui représentent 80 % de l’activité.
Pour un poste de réviseur, ces habilités s’ajoutent à la formation initiale d’avocat, exigée en cabinet pour des questions de responsabilité. Le traducteur juridique lui n’est pas nécessairement avocat.
Où se former ?
La pénurie dans ces métiers et la rareté des profils proviennent peut-être du manque de formation disponible. Déficit qui est en train d’être comblé.
« Pendant longtemps, il n’y a pas eu de formation spécifique. Mais depuis trois ans, une maîtrise en traduction juridique destinée aux étudiants en droit à ouvert à l’Université d’Ottawa, nous indiquait récemment Me Bergeron, associé réviseur chez Mc Carthy et enseignant dans ce cursus. C’est important de former une relève, car on a 50 ans dans la profession en moyenne et les vieux tu ne les fais plus bouger. »
Peut-être une voie à regarder de plus près pour qui a la vocation …
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3 commentaires
Anonyme
il y a 14 ansWow, what a future! Where else can one take such an active role in the decision making process as in translating someone else’s dribble. Where do I apply?
For those that didn’t get my sarcasm, this job seems about as challenging as legal recruiter.
Anonyme
il y a 14 ans> Wow, what a future! Where else can one take such an active role in the decision making process as in translating someone else’s dribble. Where do I apply?
>
> For those that didn’t get my sarcasm, this job seems about as challenging as legal recruiter.
You are an idiot. You have no idea how invaluable a good lawyer-revisor is to practicing in Quebec. Most people have a hard time getting their work done cogently in one language, these folks produce stellar stuff in two.
Anonyme
il y a 14 ans> > Wow, what a future! Where else can one take such an active role in the decision making process as in translating someone else’s dribble. Where do I apply?
> >
> > For those that didn’t get my sarcasm, this job seems about as challenging as legal recruiter.
>
> You are an idiot. You have no idea how invaluable a good lawyer-revisor is to practicing in Quebec. Most people have a hard time getting their work done cogently in one language, these folks produce stellar stuff in two.
You are surely a reviser. Sorry about my comments, I didn’t mean to offend anyone. Perhaps you are right: only legal recruiters are truly useless.