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Six nouveaux partenaires pour le CAIJ

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Emeline Magnier

2014-11-06 11:15:00

Six cabinets d'avocats se sont associés au CAIJ pour rendre accessibles leurs guides, bulletins et articles. Plus de détails ici…

Me Marie-Josée Garneau, présidente du CAIJ
Me Marie-Josée Garneau, présidente du CAIJ
Au cours du mois de juin dernier, le Centre d'accès à l'information juridique a signé des ententes de partenariat avec sept cabinets d'avocats dans le but de rendre accessibles leurs publications sur son site internet. Aujourd'hui, six autres cabinets rejoignent l'entente et diffuseront leur guides, bulletins et articles.

Cain Lamarre Casgrain Wells, De Grandpré Chait, Langlois Kronström Desjardins, McMillan, Osler et Robic s’ajoutent donc aux autres déjà en place.

Les publications sont disponibles en format numérique et sont enrichies de liens vers les références législatives et jurisprudentielles canadiennes. Elles sont repérables dès la page d’accueil du site Internet à l’aide du moteur de recherche JuriBistro UNIK et dans l’outil JuriBistro eDOCTRINE.

« La signature de ces ententes s’inscrit en continuum avec les attentes de la clientèle qui guident les développements du CAIJ. C’est en réponse à la demande d’accessibilité à de la doctrine en texte intégral que l’organisation travaille à développer la plus importante bibliothèque virtuelle d’information juridique, détenant la plus grande collection de doctrine numérique et imprimée au Québec », a souligné la présidente du CAIJ, Me Marie-Josée Garneau.

Au mois d’avril dernier, le CAIJ avait rompu son entente avec la Société québécoise d’information juridique : AZIMUT n’est donc plus accessible au sein des bibliothèques du réseau.

Me Mathieu Piché-Messier, alors président du CAIJ avait justifié sa décision par la faible utilisation de cet outil de recherche par ses membres et avait indiqué que l'argent ainsi économisé serait affecté à de nouveaux projets.

Les frais annuels relatifs à l'accès aux services du CAIJ sont perçus par le Barreau du Québec dans le cadre de la cotisation professionnelle dont ils représentent 14 %, soit plus de 400 dollars.

De nombreux avocats décrient ce mode de financement obligatoire qui ne tient pas compte de son utilisation réelle par les membres du Barreau et prônent un système de paiement à l'usage.

En entrevue avec Droit-inc il y a quelques semaines, le bâtonnier du Québec, Me Bernard Synnott, avait indiqué qu'il souhaitait rencontrer le conseil d'administration de l'organisme pour parler de la cotisation et demander un moratoire sur les hausses de tarifs pour les prochaines années.
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