Nouvelles

En prison pour avoir lancé son caca en plein tribunal!

Main image

L'équipe Droit-inc

2009-10-28 10:30:00

Oups, ce n’est vraiment pas une bonne idée de lancer ses excréments dans un tribunal américain. Un homme l’a appris à ses dépens lundi à San Diego.

Weusi McGowan a été condamné à 31 ans de prison pour vol et pour avoir jeté un sac rempli d'excréments dans une salle d'audience au cours de son procès en janvier dernier pour cambriolage, rapporte l’Associated Press.

Il avait notamment visé son avocat et les jurés.

Le juge Frank Brown a l’a condamné pour le cambriolage, ainsi que pour deux chefs d'inculpation concernant les excréments.

Selon ses avocats, l'homme souffre de troubles psychologiques. Ils avaient demandé le renvoi du procès pour vice de procédure car le suspect pensait que les jurés l'avaient vu menotté lorsqu'il est entré dans la salle d'audience.

Quelques jours après le rejet de sa demande, McGowan a sorti un sac rempli de matières fécales dissimulé sous ses vêtements, en a étalé sur son avocat avant de jeter le reste sur les jurés.
12907

18 commentaires

  1. Me
    Me
    J'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?

  2. N.M.B.
    N.M.B.
    il y a 14 ans
    ...?
    Est-ce qu'on peut passer à un autre sujet ?

  3. Anonyme
    Anonyme
    il y a 14 ans
    Dignité de la profession
    Ça c'est ce qu'on appelle se faire emmerder par un client...

  4. Anonyme
    Anonyme
    il y a 14 ans
    Re : Me
    > J'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?

    Good point!

  5. Anonyme
    Anonyme
    il y a 14 ans
    Légende urbaine
    J'avais entendu dire qu'un prof de droit à l'UdeM avait, dans un passé plus ou moins lointain, lancé son CCQ à un juge.

    Est-ce plus ou moind répréhensible ?

    L'objet lancé par l'avocat serait objectivement moins déguelasse, mais le geste du "lancé" serait plus répréhensible s'il provenait d'un officier de justice.

    Quel est votre verdict ?

  6. Me
    Me
    C'est deux recours différents... logique.

    Si ça le touche, c'est des voies de fait armées + deux pleintes déontologique (une pour l'événement, la deuxième c'est celle qui suit la déclaration de culpabilité). Si ça ne le touche pas, c'est seulement une plainte en déonto avec des conséquences assez graves.

  7. Me
    Me
    Par définition une "légende urbaine" est un fait fictif au sujet duquel on est sûrs que c'est fictif. Lorsque vous avez simplement entendu parler d'un événement somme toute plausible et que vous ne savez pas si c'est fictif ou non, ce n'est pas une "légende urbaine".

    • K
      Re : Me
      > Who said anything about «légende urbaine»? Do you just dream up crap to correct people about to boost your ego?

      Par définition une "légende urbaine" est un fait fictif au sujet duquel on est sûrs que c'est fictif. Lorsque vous avez simplement entendu parler d'un événement somme toute plausible et que vous ne savez pas si c'est fictif ou non, ce n'est pas une "légende urbaine".

  8. JCVD
    Pas mon habitude...
    Vous ne croyez pas qu'il y a la possibilité d'une accusation pour tentative de voies de fait armées si ça ne le touche pas ?

    Entre un soulier et un code civil...

    Par ailleurs, 31 ans de tôle pour avoir balancé des étrons amassés méticuleusement, c'est pas un peu sévère ?

    ... plaintes, pas pleintes... (usurpateur ?)

  9. Me
    Me
    Lisez la nouvelle. Il n'a pas eu 31 ans pour ça.

  10. JCVD
    31 ans.
    J'ai lu la nouvelle. Seulement, il faut voler quoi, combiné à "lancer d'excréments" pour écoper de 31 ans?

    Même s'il est possible qu'il en ait été à sa troisième offense, je n'arrive pas à m'imaginer l'endroit qu'il a pu cambrioler, ou ce qu'il a pu voler, pour se mériter ça.

  11. G
    Re : Re : Me
    > > J'ai une question. Comment sait-on que c'est son caca?
    >
    > Good point!

    Good point? Who gives a shit? No pun intended.

  12. Me
    Me
    Je ne suis pas expert en pénal, mais est-ce que "tentatives de voies de fait armées" ça existe? Faudrait voir.

  13. Me
    Me
    C'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 14 ans
      Re : Me
      Tu dis n'importe quoi !

      > C'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?

    • K
      Re : Me
      > Complete and utter nonsense.

      C'était fort probablement ses excréments au sens du droit de la propriété ou à tout le moins il en était l'usufruitier ou bénéficiaire d'un autre démembrement du droit de propriété, mais ce n'est pas claire s'il était aussi celui qui a fabriqué les excréments en question. Dans l'éventualité ou cela ne serait pas le cas, comment a-t-il pu les acquérir? S'agissait-il de biens abandonnés? Leur propriétaire initial était il au courant de l'aliénation? Si l'on fait ce que l'on a à faire dans une toilette publique, à partir de quel moment cela devient-il un bien abandonné? Est-ce à partir de l'événement-même? À partir du moment ou l'on tire la chasse? Quant à ceux qui omettent de la tirer, à partir de quel moment ils perdent leur droit de propriété? Est-ce à partir du moment ou ils quittent le cubicule? À partir du moment ou ils quittent les toilettes? Le building? Toutes des questions intéressantes. Il serait bien d'en débattre. Est-ce que les modalités civilistes de la propriété peuvent avoir une influence en droit criminel canadien? Si la cause avait eu lieu au Québec, aurait-il pu y avoir des différences dans le traitement pénal de ce cas selon que les biens avec lesquels l'infraction a été commise étaient sa propriété ou celle d'un autre?

  14. Me
    Me
    >>>> > Who said anything about «légende urbaine»? Do you just dream up crap to correct people about to boost your ego?


    I was replying to a message whose title was "legende urbaine" Learn to read, shoe guy.

Annuler
Remarque

Votre commentaire doit être approuvé par un modérateur avant d’être affiché.

NETiquette sur les commentaires

Les commentaires sont les bienvenus sur le site. Ils sont validés par la Rédaction avant d’être publiés et exclus s’ils présentent un caractère injurieux, raciste ou diffamatoire. Si malgré cette politique de modération, un commentaire publié sur le site vous dérange, prenez immédiatement contact par courriel (info@droit-inc.com) avec la Rédaction. Si votre demande apparait légitime, le commentaire sera retiré sur le champ. Vous pouvez également utiliser l’espace dédié aux commentaires pour publier, dans les mêmes conditions de validation, un droit de réponse.

Bien à vous,

La Rédaction de Droit-inc.com

PLUS

Articles similaires