Trio d’infos à l’UdeM

Me Sevgi Kelci, doctorante à l’UdeM, était à Lima, au Pérou, les 10 au 12 octobre derniers. Pas pour se dorer la pilule, non, mais pour participer au 27e Congrès de l’Union internationale du notariat latin (UINL).

Cette union compte environ 90 pays membres, et a pour principal objectif de «promouvoir, coordonner et développer la fonction et l’activité notariale dans le monde».

Au congrès, Me Kelci, notaire et diplômée de l’UdeM, était rapporteure national pour le Canada, un des pays membres. Elle y a notamment évoqué «La sécurité juridique du marché immobilier: la nécessité d’instruments de régulation».

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur la LRQ

L’autre nouvelle, c’est le lancement de LSAQ.ca, une plateforme web dédiée à la Loi sur les sociétés par actions (LRQ, c S-31.1) au Québec.

Vous aimeriez lire pour chaque article de la loi le commentaire du ministre des Finances, des références au Rapport Dickerson, des références comparatives et sources législatives, des dispositions législatives connexes et des résumés de jurisprudence? Alors courrez voir ce site.

C’est la Chaire en gouvernance et droit des affaires qui a eu l’idée de cette plateforme, qui réunit jurisprudence, doctrine et autres ressources sur la loi.

LSAQ.ca est dirigé par Stéphane Rousseau et bénéficie du soutien du Centre de recherche en droit public, du ministère de la Justice et de la Fondation du Barreau du Québec.

Bachelier doctorant

Malek Jundi, un étudiant qui devait ne pas trouver assez à s’occuper avec son baccalauréat en droit, a suivi en parallèle un doctorat en sciences (microbiologie, infectiologie et immunologie), qu’il vient de réussir avec mention très bien.

L’étudiant, qui entame sa deuxième année de droit, dit avoir toujours aimé les sciences tout en ayant beaucoup d’intérêt pour le droit. Il aimerait bien pouvoir jumeler les deux disciplines et devenir, peut-être, un avocat en droit de la santé.

Et cet étudiant pourrait, après son doctorat en sciences, poursuivre «pourquoi pas» sa formation jusqu’à l’obtention d’un doctorat en droit. Un double docteur en somme!