Petit cabinet deviendra grand!

« Ça dépasse nos rêves les plus fous!, lance le co-fondateur Me Karim Renno au bout du fil, au sujet de la nomination de son cabinet Renno Vathilakis par Benchmark Litigation dans la catégorie des 8 cabinets en litige les plus recommandés dans la province.

Après seulement une année d’existence, le cabinet lancé le 16 février 2015 comme vous l’indiquait Droit-inc à l’époque, se retrouve nommé par cette publication bien connue du milieu juridique et qui couvre le domaine du litige en Amérique du Nord.

L’expertise de la petite équipe composée de deux associés, deux avocats et un étudiant, y est soulignée dans la tranche 10-16… et ce, aux côtés de firmes comme Gowling WLG ou Osler. « C’est extraordinaire, un grand honneur! » lance Me Renno.

Les compétences individuelles des deux associés, Me Karim Renno et Me Michael Vathilakis, sont par ailleurs également saluées.

Mais qu’est-ce qui explique donc le succès du petit cabinet installé sur Sherbrooke Ouest?

Selon Me Renno, leur chance est de s’être occupés de dossiers d’envergure, « qui nous donnent une visibilité publique très bonne », ajoute le jeune super plaideur. L’accent mis sur le service à la clientèle figure en outre sur la liste des choses qui leur ont permis de se distinguer des autres cabinets boutiques dans le domaine.

Flexibilité et arrangements alternatifs

« On prend des dossiers que les grands cabinets ne prennent pas. » Quand, par exemple, un client n’a pas les reins assez solides pour payer les honoraires des grands cabinets, c’est à eux qu’ils font appel ! « Nous possédons cette flexibilité des petits cabinets, on fait beaucoup d’arrangements alternatifs. »

En outre, ils ont engagé des sociétaires « excellents »: Me Molly Krishtalka ancienne clerc à la Cour suprême, qui se confiait en avril dernier à Droit-inc, et Me Éva Richard, ancienne clerc de la Cour d’appel. « Ça aide beaucoup », affirme-t-il.

Et ils ne comptent pas s’arrêter là! Les deux associés, forts selon Me Renno de leurs expériences respectives passées, visent une plus grande expansion encore. « C’est certain que dans les mois ou les années à venir, nous saisirons l’opportunité de faire grandir l’équipe. D’ailleurs, c’est davantage un défi logistique qu’une question de charge de travail! Le défi est de trouver de la place en termes d’espace physique.»

Et en 2016? « Notre objectif cette année est de poursuivre la croissance du cabinet, de consolider nos acquis et de s’installer sur le marché québécois. L’important aussi est de maintenir un environnement de travail stimulant. »