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SOS Journal
L'équipe Droit-Inc
2009-03-30 13:15:00
Découragé par la piètre qualité des avocats récemment embauchés, un patron d’un petit cabinet américain a décidé d’écrire à un journal pour demander conseil!
Il a écrit au Washington Post:
« Sur trois avocats que nous embauchons, nous devons immanquablement en virer deux au bout d’un an. C’est toujours la même histoire : l’avocat est embauché, a du mal avec les heures de travail durant les premiers mois, puis a de la difficulté à maintenir un bon niveau de contact avec les clients. Ensuite, il ne respecte pas les dates de tombée, et finit par ne presque plus travailler ni facturer, bref il devient un boulet. Pourtant, nous offrons de la formation et des bonus de performance, nous avons des réunions hebdomadaires avec tous les avocats et, comme nous sommes petits, il y a toujours quelqu’un de disponible pour guider les gens. Est-ce que le licenciement est à ce point inévitable? »
La chroniqueuse du Post lui suggère quelques pistes de solutions, que vous pouvez lire ICI.
Mais vous, que lui recommandez-vous?
« Sur trois avocats que nous embauchons, nous devons immanquablement en virer deux au bout d’un an. C’est toujours la même histoire : l’avocat est embauché, a du mal avec les heures de travail durant les premiers mois, puis a de la difficulté à maintenir un bon niveau de contact avec les clients. Ensuite, il ne respecte pas les dates de tombée, et finit par ne presque plus travailler ni facturer, bref il devient un boulet. Pourtant, nous offrons de la formation et des bonus de performance, nous avons des réunions hebdomadaires avec tous les avocats et, comme nous sommes petits, il y a toujours quelqu’un de disponible pour guider les gens. Est-ce que le licenciement est à ce point inévitable? »
La chroniqueuse du Post lui suggère quelques pistes de solutions, que vous pouvez lire ICI.
Mais vous, que lui recommandez-vous?
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