Un faux avocat condamné

Un faux avocat condamné
Un faux avocat condamné
Un homme qui allait plaider en cour sans avoir le titre d’avocat a été condamné à trois ans de prison ferme. Il a notamment délivré des plaidoiries devant les tribunaux de Grenoble et de Villeurbanne, en France. Il avait accroché des faux diplômes de droit au mur de son cabinet et avait aussi une robe d’avocat installée sur un mannequin. À 67 ans, l’homme est connu de la justice, puisqu’il a déjà été condamné 17 fois, notamment pour escroquerie. Sa femme l’a défendue en parlant de lui comme de l’avocat des pauvres. Il avait en tout cas reçu au moins 11 000 euros en liquide de la part de ses différents clients.

Un vis caché sur un alpaga ?

Un vis caché sur un alpaga ?
Un vis caché sur un alpaga ?
Le juge Jacques Tremblay a dû lire bon nombre de documents pour mettre à niveau ses connaissances de l’alpaga, cet animal originaire d’Amérique du Sud dont la laine est très prisée.

En effet, un couple de Saint-Basile, dans Portneuf, demande 3000 $ aux propriétaires d’une ferme qui leur a vendu deux alpagas. L’un d’eux, une femelle, est morte quelques semaines après avoir mis bas. Sans autopsie, les propriétaire n’ont pas réussi à déterminer les causes précises du décès, mais il savaient en tout cas que la femelle alpaga souffrait d’anémie et avait des vers. Les fermiers assurent de leur côté avoir vendu un animal en bonne santé. Le juge Tremblay aura la lourde tâche de déterminer qui doit supporter le risque du décès d’un animal après avoir donné naissance et si l’alpaga était déjà en danger de mort avant sa vente.

Jugé pour avoir eu une relation sexuelle avec une poule

Jugé pour avoir eu une relation sexuelle avec une poule
Jugé pour avoir eu une relation sexuelle avec une poule
Les faits remontent à août 2008, mais l’homme de 59 ans a été jugé fin mars 2017. Il avait été surpris par sa femme dans le garage, pantalon baissé, en plein acte sexuel avec une poule, dans un petit village français.

Une vision d’horreur pour la mère de famille qui a été prise de vomissements. Une plainte a été déposée contre le mari. Ses animaux, sept poules et une chèvre, ont été placés sous la protection d’une association.

Le couple s’est d’ailleurs séparé depuis. L’avocate de la conjointe demande 1 000 euros de dommages et intérêts, tandis que la procureure de la République a requis une peine de trois mois de prison ferme, ainsi qu’une interdiction définitive de détenir des animaux. Il a finalement écopé de trois mois avec sursis et d’une interdiction de détenir un animal.