Dossier spécial: Desjardins Ducharme
Mark M. Rosenstein : « Nous sommes toujours très intéressés ».
Rene Lewandowski
2007-06-29 07:10:00
Mark M. Rosenstein s’envole cette fin de semaine pour une courte escapade en Russie. Demain, il sera à Saint-Pétersbourg, pour une petite croisière de quelques jours.
Mais l’associé-fondateur de Lapointe Rosenstein a prévu le coup : son Blackberry demeurera ouvert durant tout son périple.
« Juste au cas où », dit-il.
Mark Rosenstein l’avoue d’emblée, son cabinet est très intéressé par un rapprochement avec Desjardins Ducharme.
«Nos organisations sont complémentaires, ce serait dans l’intérêt des deux parties.»
La forme que pourrait prendre un éventuel rapprochement, ça, Mark Rosenstein ne le sait pas encore.
Bien que lui et quelques-uns de ses associés ont eu plusieurs discussions avec les dirigeants de Desjardins Ducharme, il n’a pas formulé d’offre concrète.
« La balle est dans leur camp, mais nous sommes ouverts à considérer toute éventualité. »
Il n'a pas eu de nouvelles de Desjardins Ducharme depuis la semaine dernière, bien que certains de ses associés ont eu des contacts plus récents.
À priori, on pourrait penser qu’une « fusion » totale avec Desjardins Ducharme serait une grosse bouchée pour Lapointe Rosenstein. Le cabinet compte une cinquantaine d’avocats, contre plus d’une centaine pour Desjardins Ducharme.
Et puis, il y a l’espace. Où travailleront tous ces nouveaux avocats ?
Mark Rosenstein, lui, n’y voit pas de problème. Évidemment, dit-il, son cabinet ne compte pas assez de bureaux pour accueillir tous ces gens. « Mais on peut toujours louer des locaux temporaires. »
Cela dit, Mark Rosenstein n’est pas prêt à signer un chèque en blanc. « Il faut voir les chiffres, et analyser la situation de chacun des avocats. » Pour cela, il attend toujours des nouvelles de Desjardins Ducharme.
Souhaitons qu’il ait fait bonne provision de batteries pour son Blackberry. Au cas où il se mettrait à sonner en fin de semaine.
Bien que lui et quelques-uns de ses associés ont eu plusieurs discussions avec les dirigeants de Desjardins Ducharme, il n’a pas formulé d’offre concrète.
« La balle est dans leur camp, mais nous sommes ouverts à considérer toute éventualité. »
Il n'a pas eu de nouvelles de Desjardins Ducharme depuis la semaine dernière, bien que certains de ses associés ont eu des contacts plus récents.
À priori, on pourrait penser qu’une « fusion » totale avec Desjardins Ducharme serait une grosse bouchée pour Lapointe Rosenstein. Le cabinet compte une cinquantaine d’avocats, contre plus d’une centaine pour Desjardins Ducharme.
Et puis, il y a l’espace. Où travailleront tous ces nouveaux avocats ?
Mark Rosenstein, lui, n’y voit pas de problème. Évidemment, dit-il, son cabinet ne compte pas assez de bureaux pour accueillir tous ces gens. « Mais on peut toujours louer des locaux temporaires. »
Cela dit, Mark Rosenstein n’est pas prêt à signer un chèque en blanc. « Il faut voir les chiffres, et analyser la situation de chacun des avocats. » Pour cela, il attend toujours des nouvelles de Desjardins Ducharme.
Souhaitons qu’il ait fait bonne provision de batteries pour son Blackberry. Au cas où il se mettrait à sonner en fin de semaine.
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