Dossier spécial: Desjardins Ducharme
Stein Monast ressuscite !
Rene Lewandowski
2007-07-05 11:57:00
Ce n’est pas officiel, mais c’est officieux ! Quinze ans après avoir fusionné avec Desjardins Ducharme, le bureau de Québec s’apprête à revoler de ses propres ailes.
Le nom envisagé ? Stein Monast, nom mythique à Québec, qui avait été abandonné il y a quelques années.
C’est du moins ce qu’ont proposé samedi dernier les associés du bureau de la vieille capitale, alors que tous les décideurs de Desjardins Ducharme étaient réunis pour discuter des différentes options.
Cette proposition a d’ailleurs été reçue avec grand soulagement par la direction.
Celle-ci tente par tous les moyens de regrouper le cabinet avec un concurrent. Mais un éventuel mariage –déjà difficile – aurait été quasi impossible s’il avait fallu inclure le bureau de Québec.
Les associés de Québec ont donc décidé de faciliter la tâche du conseil d’administration en lui proposant un divorce à l’amiable. Qui a été accepté.
Pour les associés de Québec, cette décision provoque à la fois de la nostalgie et de l’euphorie.
Nostalgie, parce qu’ils quittent des collègues qu’ils côtoyaient depuis 15 ans, et qui deviendront désormais des concurrents. Euphorie, parce que la perspective de reprendre le plein contrôle de la destinée du bureau les enchante.
Il faut dire que le bureau de Québec de Desjardins Ducharme est l’un des plus rentables de la vieille capitale. Et pour beaucoup d’observateurs, les meilleurs éléments du cabinet habitent plus près des plaines d’Abraham que du Mont Royal.
On ne sait pas encore quand la séparation officielle aura lieu. Mais tout devrait être réglé pour un nouveau départ début septembre.
Cette proposition a d’ailleurs été reçue avec grand soulagement par la direction.
Celle-ci tente par tous les moyens de regrouper le cabinet avec un concurrent. Mais un éventuel mariage –déjà difficile – aurait été quasi impossible s’il avait fallu inclure le bureau de Québec.
Les associés de Québec ont donc décidé de faciliter la tâche du conseil d’administration en lui proposant un divorce à l’amiable. Qui a été accepté.
Pour les associés de Québec, cette décision provoque à la fois de la nostalgie et de l’euphorie.
Nostalgie, parce qu’ils quittent des collègues qu’ils côtoyaient depuis 15 ans, et qui deviendront désormais des concurrents. Euphorie, parce que la perspective de reprendre le plein contrôle de la destinée du bureau les enchante.
Il faut dire que le bureau de Québec de Desjardins Ducharme est l’un des plus rentables de la vieille capitale. Et pour beaucoup d’observateurs, les meilleurs éléments du cabinet habitent plus près des plaines d’Abraham que du Mont Royal.
On ne sait pas encore quand la séparation officielle aura lieu. Mais tout devrait être réglé pour un nouveau départ début septembre.
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