Financement du barrage de Matala: qui est sur le coup?

En mai dernier, la succursale Canada de la Société Générale (SGC) a conclu une entente avec la République d’Angola, afin de lui procurer des facilités de crédit de 280 883 000 millions $ US, en vue de financer la réhabilitation et de la rénovation du barrage hydroélectrique de Matala et de ses installations connexes.

C'est la filiale SNC-Lavalin Angola Limitada qui est chargée d'effectuer les travaux alors que la SNC-Lavalin Capital a agi dans cette entente à titre de conseiller financier. Les facilités de crédit prendront la forme d'un prêt structuré à l’exportation, prêt qui sera assuré en partie par Exportation et développement Canada (EDC).

Et c'est Heenan Blaikie qui représentait les intérêts de la SGC, avec une équipe composée de trois avocats du bureau de Montréal qui ont agi de concert avec Juliette D’Hollander conseillère juridique principale pour SGC : Ilan Dunsky, associé en droit des affaires et codirecteur du groupe national de pratique des infrastructures et partenariats public-privé, Joel Cabelli, associé au sein du groupe des services financiers, Marie-Josée Couture, membre des groupes du droit des Services financiers et des Infrastructures et partenariats public-privé.

La SNC-Lavalin était représentée par Olena Wynnycky et Jean Hoffman-Zukowski, conseillers juridiques internes. Tandis que Jennifer Sullivan, avocate principale, Services juridiques – Assurances, représentait EDC.

Enfin, le cabinet FBL Advogados, de Luandaa, agissait pour le compte de la République d’Angola,plus particulièrement Guiomar Lopes et Teresinha Lopes.