2011 a été une année en dents de scie pour les fusions et acquisitions. Une conséquence de l'incertitude qui a régné sur les marchés mondiaux, en Amérique du Nord ou ailleurs. Quelles sont les perspectives pour cette nouvelle année?
Dans une analyse approfondie de ce qui se profile à l'horizon 2012 dans les fusions et acquisitions, le cabinet Torys a ainsi relevé plusieurs tendances significatives.
Tout d'abord, le cabinet a noté un élément déterminant pour le secteur, soit celui de l'innovation. Innovation et fusions et acquisitions devront aller de pair.
Torys prévoit également que les investisseurs financiers chercheront à participer aux fusions, même si les financements seront, eux, plus difficiles à obtenir.
Dans le secteur de l'actionnariat privé, les commanditaires se tourneront beaucoup plus que l'année passée, vers leurs partenaires pour les encourager à prendre part de manière plus significative dans leurs deals.
Les entreprises chercheront les moyens d'obtenir des dividendes pour leurs actionnaires, en dehors de leurs entreprises, dans la mesure où les opérations classiques de fusions et acquisitions seront moins accessibles.
Les transactions dérivées apparaîtront alors comme une façon novatrice, de rapporter de la valeur aux actionnaires.
Les gouvernements seront eux-aussi confrontés à la pression de faire plus avec moins, et devraient être des acteurs importants des fusions et acquisitions à l'échelle mondiale.
Pour avoir accès aux tendances de manière plus complète, cliquer ici.
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