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Gowlings se refait une beauté
Rene Lewandowski
2010-04-21 08:30:00
Vous l’avez peut-être déjà remarqué, mais Gowlings a un nouveau look.
Depuis la semaine dernière, le cabinet a un logo tout neuf et un nouveau site Web.
« Le monde change, les services juridiques s’internationalisent, nous voulions que notre image reflète cette réalité », dit l’associé Luc Lissoir.
Me Lissoir explique que le nouveau logo exprime davantage de simplicité que l’ancien. Il est aussi moins conservateur et fait moins vieillot. « Dans un certain sens, il exprime le passage d’une autre époque à la modernité », dit-il.
Les messages soulignent également les valeurs du cabinet: travail d'équipe, innovation, efficacité, valeur ajoutée, etc. Des clichés, certes, qui se démarquent peu de la concurrence. À une différence près, note Me Lissoir: "Nous on le fait vraiment!"
Ce relookage fait partie d’une stratégie de repositionnement. Depuis plusieurs années, Gowlings est présent à l’international et veut continuer à pénétrer les marchés mondiaux. Mais le cabinet cherche aussi à se démarquer localement. À Montréal, admet Me Lissoir, le cabinet est surtout reconnu pour son expertise en propriété intellectuelle, peu en droit des affaires. Gowlings veut changer cette perception et répondre présent en PI, mais aussi en droit des affaires et en litige
« Trois axes que l’on retrouve dans notre nouvelle image », explique l’avocat.
Pour le branding, on a consulté à l’externe et on a sondé la clientèle. Tout le design en revanche, de même que la conception du nouveau site s’est fait à l’interne.
Cela fait quelques années que les associés de Gowlings ont amorcé leur réflexion de réorientation stratégique. Si la mise en pratique a été retardée, c’est à cause de la récession.
La crise économique explique aussi pourquoi le cabinet n’a pas fait un gros tapage publicitaire. Par contre, les quelques efforts promotionnels ont jusqu’ici ciblé les nouveaux médias, Internet notamment. Le cabinet a en effet placé des bandeaux publicitaires dans des sites d’affaires québécois et canadiens. Rien dans les journaux imprimés, comme les cabinets d’avocats avaient jadis l’habitude de le faire.
Oui, le monde change…
« Le monde change, les services juridiques s’internationalisent, nous voulions que notre image reflète cette réalité », dit l’associé Luc Lissoir.
Me Lissoir explique que le nouveau logo exprime davantage de simplicité que l’ancien. Il est aussi moins conservateur et fait moins vieillot. « Dans un certain sens, il exprime le passage d’une autre époque à la modernité », dit-il.
Les messages soulignent également les valeurs du cabinet: travail d'équipe, innovation, efficacité, valeur ajoutée, etc. Des clichés, certes, qui se démarquent peu de la concurrence. À une différence près, note Me Lissoir: "Nous on le fait vraiment!"
Nouveau logo, nouveaux messages pour Gowlings
Ce relookage fait partie d’une stratégie de repositionnement. Depuis plusieurs années, Gowlings est présent à l’international et veut continuer à pénétrer les marchés mondiaux. Mais le cabinet cherche aussi à se démarquer localement. À Montréal, admet Me Lissoir, le cabinet est surtout reconnu pour son expertise en propriété intellectuelle, peu en droit des affaires. Gowlings veut changer cette perception et répondre présent en PI, mais aussi en droit des affaires et en litige
« Trois axes que l’on retrouve dans notre nouvelle image », explique l’avocat.
Pour le branding, on a consulté à l’externe et on a sondé la clientèle. Tout le design en revanche, de même que la conception du nouveau site s’est fait à l’interne.
Cela fait quelques années que les associés de Gowlings ont amorcé leur réflexion de réorientation stratégique. Si la mise en pratique a été retardée, c’est à cause de la récession.
La crise économique explique aussi pourquoi le cabinet n’a pas fait un gros tapage publicitaire. Par contre, les quelques efforts promotionnels ont jusqu’ici ciblé les nouveaux médias, Internet notamment. Le cabinet a en effet placé des bandeaux publicitaires dans des sites d’affaires québécois et canadiens. Rien dans les journaux imprimés, comme les cabinets d’avocats avaient jadis l’habitude de le faire.
Oui, le monde change…
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Anonyme
il y a 15 ansThere's a video with sound that plays automatically when you go to their home page. What were they thinking? Who was their web designer, a 13-year old who has to use every single feature in FrontPage? That's probably the biggest single no-no after endless pop-ups. Because what every client wants is to have a sound file play as soon as they click on your link. That's a great idea.
Anonyme
il y a 15 ansGowlings rien ne vous choque ?!
Ils ont piqué vos couleurs !
Anonyme
il y a 15 ans> Gowlings rien ne vous choque ?!
> Ils ont piqué vos couleurs !
depuis quand qqn peut-il prétendre à des droits sur une couleur?
Me
il y a 15 ansApprenez à lire le français. Vous découvrirez probablement (puisque ce n'est pas déjà fait) qu'une bonne compréhension du français aide dans la profession.
Il a bel et bien dit "vos couleurs" et non pas "une couleur". Effectivement, une combinaison de plusieurs couleurs peut faire partie d'une image corporative et l'utilisateur original peut réclamer des droits. (On est très loin de cette situation ici... l'intervenant ne faisait qu'une blague).
Essayez de vous partir une compagnie de courrier avec des camions bruns et du lettrage doré. Vous verrez.
Pour ce qui est du débat plus profond, je vous invite à lire ceci au sujet de la compagnie Pantone: http://www.wired.com/wired/archive/10.10/pantone.html C'est fort passionnant.
Anonyme
il y a 15 ansNon. Mathieu, tu te trompes, du moins en ce qui a trait aux MC.
En matière de MC, le Bureau des marques de commerce refuse toute demande d’enregistrement d'une couleur (ou d'une combinaison de couleurs), à moins que la couleur ne soit associée à une forme ou une dimension particulière.
Me
il y a 15 ans>>>>> En matière de MC, le Bureau des marques de commerce refuse toute demande d’enregistrement d'une couleur (ou d'une combinaison de couleurs), à moins que la couleur ne soit associée à une forme ou une dimension particulière.
Je ne sais pas comment ça fonctionne dans ton pays, mais au Québec, alléguer une violation d'une marque de commerce est loin d'être le seul recours par lequel une cie peut faire valoir son droit à une certaine exclusivité quant à l'usage de ce qui compose son image corporative... Si le refus d'enregistrement du BMC est signifie pour toi un "green light" clair à ce genre de violation, je te suggère fortement de changer de profession.
PS
Merci pour le "Mathieu". Ça fait toujours plaisir de savoir que les gens sont partis sur des red herrings :-)
Anonyme
il y a 15 ansc'est vrai qu'une violation de marques de commerce n'est pas le seul recours qu'une cie peut exercer pour faire valoir son droit sur son image corporative. Mais pour ce faire, l'image corpo doit être un élément protégeable (notamment distinctif) et pour ça, la référence aux marques n'est pas négligeable (et le BMC applique ces principes)
> >>>>> En matière de MC, le Bureau des marques de commerce refuse toute demande d’enregistrement d'une couleur (ou d'une combinaison de couleurs), à moins que la couleur ne soit associée à une forme ou une dimension particulière.
>
> Je ne sais pas comment ça fonctionne dans ton pays, mais au Québec, alléguer une violation d'une marque de commerce est loin d'être le seul recours par lequel une cie peut faire valoir son droit à une certaine exclusivité quant à l'usage de ce qui compose son image corporative... Si le refus d'enregistrement du BMC est signifie pour toi un "green light" clair à ce genre de violation, je te suggère fortement de changer de profession.
>
> PS
> Merci pour le "Mathieu". Ça fait toujours plaisir de savoir que les gens sont partis sur des red herrings :-)
Me
il y a 15 ans>>>>> Non. Mathieu, tu te trompes, du moins en ce qui a trait aux MC.
Il est, pour moi, impossible de me tromper en matière de MC puisque jamais je n'ai parlé de MC en avançant l'argument premier.
anonyme
il y a 15 ansloooooooool
Mathieu, tellement pas!
le gars a ben plus de classe que Mathieu.
Colette
il y a 15 ansC'est un choix mais cet avocat n'avait aucun besoin de lifting. En tous les cas, oser parler beauté pour un homme. Quel choix audacieux !
fp
il y a 14 ans> C'est un choix mais cet avocat n'avait aucun besoin de lifting. En tous les cas, oser parler beauté pour un homme. Quel choix audacieux !
Honnêtement, il y a des gens qui n'ont rien à faire. C'est fou comme les gens prennent des propos et les modifient pour pouvoir faire des blagues pourries, mal élevées et surtout quasi-sexiste. Gowlings s'est refait une beauté. COMME TOUS LES AUTRES BUREAUX EN PASSANT. Donc le dude qui fait semblant d'être outré par l'appropriation de couleur. Big, il n'y a pas tant de couleurs sur la palettes qui ne soient hideuses.
Bref, arrêtez de faire vos Picasso et apprenez à apprécier les choses pour ce qu'elles sont!
ab
il y a 14 ansHey you know what, c'est une innovation. You don't like it, fine. When you'll have clients as good as Me Lissoir, you'll have a say.