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Heenan poursuit Myriam Bédard et Nima Mazhari
L'équipe Droit-Inc
2008-06-03 11:22:00
Une nouvelle tuile s’abat sur le couple Myriam Bédard-Nima Mazhari. Dans une poursuite qu’il vient de déposer, Heenan Blaikie Aubut, de Québec, réclame 26 600 $ pour des services professionnels qu’il a rendus et pour lesquels il n’a pas été payé.
C’est ce révèle ce matin le quotidien Le Soleil.
La requête déposée en Cour du Québec ne précise pas le travail qui a été fait pour le couple, et l’avocat d’Heenan Blaikie Aubut qui l’a déposée n’a pas daigné donner suite à la demande d’information du Soleil.
Toutefois, le plumitif laisse voir que c’est ce bureau d’avocats qui a représenté Myriam Bédard et son conjoint dans une cause qui les opposait à un homme de Lévis avec lequel ils ont amorcé une transaction immobilière, en 2003.
Pour lire la suite de l’article du Soleil, cliquez ici.
Par ailleurs, madame Bédard doit revenir devant la justice la semaine prochaine en marge de la sentence qu'on lui avait imposée relativement à l'enlèvement de sa fille en octobre 2006.
Elle devra donc se présenter devant la Cour d'appel au palais de justice de Québec pour contester cette sentence, car elle souhaite obtenir une absolution inconditionnelle.
Myriam Bédard bénéficie présentement d'une absolution conditionnelle au respect d'une probation de deux ans pendant lesquels elle ne peut ni quitter le pays ni posséder d'armes à feu.
La requête déposée en Cour du Québec ne précise pas le travail qui a été fait pour le couple, et l’avocat d’Heenan Blaikie Aubut qui l’a déposée n’a pas daigné donner suite à la demande d’information du Soleil.
Toutefois, le plumitif laisse voir que c’est ce bureau d’avocats qui a représenté Myriam Bédard et son conjoint dans une cause qui les opposait à un homme de Lévis avec lequel ils ont amorcé une transaction immobilière, en 2003.
Pour lire la suite de l’article du Soleil, cliquez ici.
Par ailleurs, madame Bédard doit revenir devant la justice la semaine prochaine en marge de la sentence qu'on lui avait imposée relativement à l'enlèvement de sa fille en octobre 2006.
Elle devra donc se présenter devant la Cour d'appel au palais de justice de Québec pour contester cette sentence, car elle souhaite obtenir une absolution inconditionnelle.
Myriam Bédard bénéficie présentement d'une absolution conditionnelle au respect d'une probation de deux ans pendant lesquels elle ne peut ni quitter le pays ni posséder d'armes à feu.
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