Nouvelles
D’avocat à vendeur de meubles
Rene Lewandowski
2009-03-03 13:15:00
Il n’y a pas de sot métier et pour un avocat de Boston ce dicton n’a jamais été vrai.
Paul Semenza, qui compte 25 ans d’expérience dans les poursuites liées aux blessures corporelles, a passé un an à se recaser comme juriste après avoir perdu son job l’an dernier.
En vain.
Il a donc abouti comme vendeur de meubles.
L’histoire est relatée dans le Boston Globe et donne une idée du climat morose qui règne actuellement dans le marché de l’emploi juridique.
L’avocat-vendeur raconte dans le papier qu’il apprécie servir les clients mais que son ancien travail lui manque.
« C’est frustrant de ne plus pouvoir faire ce que j’ai toujours fait avec bonheur pendant si longtemps, explique-t-il au journal. Le droit me manque beaucoup. »
On peut lire l’article au complet ici.
À quand un avocat montréalais chez Brault & Martineau, là où la qualité, rappelons-le, n’est pas un obstacle aux bas prix?
En vain.
Il a donc abouti comme vendeur de meubles.
L’histoire est relatée dans le Boston Globe et donne une idée du climat morose qui règne actuellement dans le marché de l’emploi juridique.
L’avocat-vendeur raconte dans le papier qu’il apprécie servir les clients mais que son ancien travail lui manque.
« C’est frustrant de ne plus pouvoir faire ce que j’ai toujours fait avec bonheur pendant si longtemps, explique-t-il au journal. Le droit me manque beaucoup. »
On peut lire l’article au complet ici.
À quand un avocat montréalais chez Brault & Martineau, là où la qualité, rappelons-le, n’est pas un obstacle aux bas prix?
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Anonyme
il y a 16 ansAvant de me trouver un bon job, dans mon domaine, j'ai, temporairement, avec un doctorat, travaillé dans une usine pour survivre... C'est la vie... Même la mention de la plus haute excellence n'est pas une garantie... Il faut encore qu'une place soit libre et que le comité de sélection ne se sente pas menacé...