Nouvelles
Deux super avocats chez Davies
Natacha Mignon
2010-09-29 11:15:00
Deux avocats du cabinet Davies Ward Phillips & Vineberg se voient officiellement décerner le titre de "super lawyers". Lesquels?
Il s'agit de Peter A. Glicklich et Steven H. Levin, respectivement associé directeur et et associé du bureau de New York .
Les deux figurent sur la liste des New York Super Lawyers pour l’année 2010 en tant qu’avocats de pointe en droit des affaires dans les domaines de la fiscalité et des fusions et acquisitions, respectivement.
Mais au fait, c'est quoi les Super Lawyers?
La liste des Super Lawyers reconnaît les avocats exceptionnels dans plus de 70 domaines de pratique qui sont grandement considérés par leurs pairs et qui ont atteint un haut niveau d’excellence sur le plan des réalisations professionnelles.
Une success story qui tourne mal?
Pour être honnêtes, au cours des dernières années des critiques se sont élevées envers le classement.
Beaucoup contestent aujourd’hui la légitimité du classement.
Démarrée en 1990 pour les avocats de Minneapolis, avec comme postulat, celui de faire ressortir à Monsieur et Madame Tout le monde, les meilleurs avocats en ville, le classement des Super Lawyers s’est rapidement étendu à la quasi-totalité des états américains.
De quoi faire des jaloux ?
Peut-être.
En tout cas, succès a rimé avec ennui pour la firme de Minneapolis.
Certains contestent leur méthodologie de classement, d’autres crient à l’autocongratulation, comme le rappelle le Journal du Minnesota Citipages.
Le Journal va jusqu’à avancer que Super Lawyers seraient aux mains des grands bureaux et que finalement le classement serait plus représentatif des capacités de réseautage des avocats distingués que de leurs compétences en droit.
Plus récemment, Super Lawyers a eu à se défendre devant la Cour suprême du New Jersey.
On reprochait à la marque de risquer d’induire le public en erreur.
Le cas a été tranché en novembre 2009, comme le rappelle Larry Bodine, sur son blogue.
Désormais, les avocats du New Jersey qui souhaitent publiciser le fait qu’ils ont reçu le titre de Best Lawyers in America ou de Super Lawyers, devront préciser qu’aucun aspect de leur publicité n’a été approuvé par la Cour suprême de l’Etat et respecter diverses spécifications prévues à l’article 7.1(a)(3) de leur Code de déontologie.
Les deux figurent sur la liste des New York Super Lawyers pour l’année 2010 en tant qu’avocats de pointe en droit des affaires dans les domaines de la fiscalité et des fusions et acquisitions, respectivement.
Mais au fait, c'est quoi les Super Lawyers?
La liste des Super Lawyers reconnaît les avocats exceptionnels dans plus de 70 domaines de pratique qui sont grandement considérés par leurs pairs et qui ont atteint un haut niveau d’excellence sur le plan des réalisations professionnelles.
Une success story qui tourne mal?
Pour être honnêtes, au cours des dernières années des critiques se sont élevées envers le classement.
Beaucoup contestent aujourd’hui la légitimité du classement.
Démarrée en 1990 pour les avocats de Minneapolis, avec comme postulat, celui de faire ressortir à Monsieur et Madame Tout le monde, les meilleurs avocats en ville, le classement des Super Lawyers s’est rapidement étendu à la quasi-totalité des états américains.
De quoi faire des jaloux ?
Peut-être.
En tout cas, succès a rimé avec ennui pour la firme de Minneapolis.
Certains contestent leur méthodologie de classement, d’autres crient à l’autocongratulation, comme le rappelle le Journal du Minnesota Citipages.
Le Journal va jusqu’à avancer que Super Lawyers seraient aux mains des grands bureaux et que finalement le classement serait plus représentatif des capacités de réseautage des avocats distingués que de leurs compétences en droit.
Plus récemment, Super Lawyers a eu à se défendre devant la Cour suprême du New Jersey.
On reprochait à la marque de risquer d’induire le public en erreur.
Le cas a été tranché en novembre 2009, comme le rappelle Larry Bodine, sur son blogue.
Désormais, les avocats du New Jersey qui souhaitent publiciser le fait qu’ils ont reçu le titre de Best Lawyers in America ou de Super Lawyers, devront préciser qu’aucun aspect de leur publicité n’a été approuvé par la Cour suprême de l’Etat et respecter diverses spécifications prévues à l’article 7.1(a)(3) de leur Code de déontologie.
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Schloups
il y a 14 ansOuf! Le monde est sauvé...
DSG
il y a 14 ansWe already give the public a false image of prominence with titles such as Me and q.c. that are too easily bestowed to countless hacks.
Anonyme
il y a 14 ansCritiquez comme vous le voulez moi j'aime les classements. Voilà c'était mon mercredi confession
Anonyme
il y a 14 ansMoi, rien que pour gagner le T Shirt j'aurai aimé être dans la course. Je ne savais pas que les avocats portaient ce type de sous-vêtement.