Jaar vend Ledjit!

À nul autre que KPMG!

KPMG vient tout juste de l’annoncer dans un communiqué.

Rappelons-le, Conseils Ledjit Inc., est le premier cabinet de consultants au Canada en gestion de l'information et administration de la preuve électronique (e-Discovery), qui s'est donné pour mission de faire « Un pont entre le droit et les technologies(MD) ».

Selon KPMG, cette acquisition renforce sa capacité d’aider les entreprises à prendre le contrôle de leurs données.

KPMG devient du coup le premier cabinet au Canada à offrir tous les éléments du modèle de référence d'administration de la preuve électronique des documents (EDRM) et développe ainsi les services pour lesquels il est déjà un chef de file réputé. La clientèle de Ledjit, qui comprend diverses multinationales, bénéficiera des connaissances et des compétences étendues et approfondies des conseillers de KPMG.

« Grâce aux spécialistes de Ledjit et à leurs compétences en administration de la preuve électronique, KPMG devient un chef de file en matière de services-conseils aux entreprises et aux cabinets d'avocats sur la manière de gérer proactivement des dossiers, de leur création à leur destruction, et pendant des litiges et des enquêtes. Nous mettons à profit notre capacité à proposer des stratégies qui permettent aux entreprises de tous les secteurs d'accroître leur efficience et leur efficacité », a déclaré Bill Thomas, chef de la direction et associé principal de KPMG.

Tous les membres de l'équipe Ledjit se sont joints à KPMG et travailleront au moyen des procédés actuels d'administration de la preuve électronique en les complétant grâce à leur spécialisation en gestion de l'information.

« La gestion de l'information (ne se limitant pas exclusivement aux litiges), comme la conservation des dossiers, devient un enjeu crucial pour les grandes entreprises, a déclaré Dominic Jaar, associé délégué. Dans les cas de litige, les conseillers juridiques recherchent des solutions efficientes pour faire en sorte que leurs efforts de production et de conservation de documents soient défendables. Cela les amène dans le domaine du directeur de l'informatique ou du directeur des techniques informatiques, ce qui exige de ces derniers qu'ils doivent comprendre les obligations juridiques de leur entreprise et avoir des processus et des procédures éprouvés déjà en place. En faisant un pont entre le droit et la technologie, KPMG occupe maintenant un nouveau créneau », a-t-il conclu.