La dirigeante des juges du Tribunal administratif du Québec fait l’objet de vives contestations de la part de ses collègues qui lui ont lancé un ultimatum.
La juge en chef du TAQ, Hélène de Kovachich, a « une incapacité à gérer autrement que par la menace », a indiqué une source au quotidien La Presse.
La juge Hélène de Kovachich est en bien mauvaise postureCes propos se sont tenus dans le cadre d’une rencontre le 9 novembre dernier, rapporte le quotidien, alors que les juges ont reproché à Me de Kovachich d’avoir un style de gestion agressif, en plus de ne pas offrir les ressources nécessaires pour accomplir leur travail convenablement.
Les juges ont exhorté des changements radicaux de la part d’Hélène de Kovachich, en poste depuis 4 ans. Si rien n’est fait, des mesures plus sérieuses seront prises, ont-ils réitéré.
Cela n’est pas la première fois que les juges administratifs montrent des signes de ras-le-bol. Ceux-ci ont débrayé lors de quelques heures en mai dernier, et deux semaines auparavant, neuf des dix « juges coordonnateurs » du TAC ont démissionné en bloc.
La juge en chef au TAQ, supposément proche du parti libéral, a vu son mandat renouvelé lors d’une décision du conseil des ministres, quelques semaines seulement avant la dernière campagne électorale.
Pour lire l’article au complet dans La Presse, cliquez ici.
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