Le bonheur est dans le pré (d'à côté)

Natacha Mignon
2010-11-04 11:15:00
Le constat est fait par le ''Financial Post''.
A raison ? La réalité est en tout cas que les Etats-Unis demeurent et de loin le premier partenaire commercial du Canada.
Osler l’a bien compris, et petit à petit, la firme a bâti un bureau de 28 avocats à Manhattan.
Torys en compte 31 à New York.
L’associé directeur du bureau américain d’Osler, Randall Pratt (en photo), explique cette stratégie.
Le pari de départ était d’être un bureau de représentation, dont les avocats principalement canadiens, feraient du « inbound work. »
Aujoud’hui, l’objectif a changé.
Les avocats d’Osler veulent desservir une clientèle d’entreprises canadiennes qui souhaitent faire affaire aux Etats-Unis et réciproquement accompagner les entreprises américaines dans leurs projets de développement au Canada.
Dévoué à 100 % au marché US, Me Pratt ne doute pas qu’un jour sa firme pourra concurrencer les Skadden Arpps ou autres Weil Gotshal sur des transactions de premier plan.
Obtenez plus de détails sur la stratégie américaine d’Osler et d’autres encore (en anglais), en cliquant ici.
Anonyme
il y a 14 ansLe bonheur n’est pas dans un nouveau pays comme l’Amérique ou autre, non le bonheur est dans l’homme de sa vie.