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Les meilleurs cabinets où travailler
Natacha Mignon
2010-10-29 14:30:00
Parmi les cabinets d’avocats, quels sont à votre avis ceux où il fait bon travailler ? Découvrez-les en consultant la liste des 50 meilleurs employeurs du pays.
La prestigieuse liste annuelle issue du sondage national ''Employeurs de choix au Canada'' réalisé par Aon Hewitt vient d’être rendue publique.
Elle distingue les cinquante entreprises canadiennes citées par leurs salariés comme des lieux où il fait bon travailler.
Sans plus attendre … voici les cabinets canadiens qui y figurent:
Gowling Lafleur Henderson
Ce qui vaut à la firme ce classement, c’est de l’avis des gens qui y travaillent, d’abord pour la culture du cabinet qui allie respect et attention à l’égard du personnel; ensuite pour l’engagement du cabinet pour des œuvres communautaires et de charité; enfin pour les programmes de mentorat qui y sont mis en place.
Stikeman Elliott
Le cabinet de Pierre Raymond a le vent en poupe en ce moment.
Hier, parmi la liste des 70 meilleurs, aujourd’hui meilleur employeur.
Si les salariés se disent contents d’y travailler, c’est avant tout car le cabinet offre un travail de qualité et fait tout pour « attirer et retenir les meilleurs talents du marché ». Autres points forts de la firme : son implication dans le domaine social et les programmes de mentorat et formation continue proposés à l’interne.
Bennett Jones
Un vétéran dans la catégorie puisque la firme est présente dans cette liste des meilleurs employeurs depuis neuf années consécutives.
Elle y figure encore cette année, notamment pour les avantages sociaux, le programme d’aide à la famille, et les formations interactive proposées par le cabinet.
Voilà maintenant vous savez où travailler en 2011, y’a plus qu’à envoyer les CV !
Rappelons que le sondage Employeurs de choix au Canada, en est à sa douzième année.
Le sondage de 2011 a compilé les données de deux cent cinquante et un employeurs.
Aon Hewitt a mesuré le dévouement des employés en se concentrant sur les employés qui parlaient en bien de leur employeur à d’autres personnes, sont déterminés à demeurer à l’emploi de ce dernier et sont motivés par la culture de leur employeur qui consiste à se surpasser pour contribuer au succès de l’entreprise. La note moyenne de dévouement obtenue par les sociétés qui figurent sur la liste des employeurs de choix était de 80 pour cent.
Pour consulter la liste entière des 50 meilleurs employeurs au Canada, cliquez-ici.
''Photo :'' Scott.Jolliffe, associé directeur de Gowlings
Elle distingue les cinquante entreprises canadiennes citées par leurs salariés comme des lieux où il fait bon travailler.
Sans plus attendre … voici les cabinets canadiens qui y figurent:
Gowling Lafleur Henderson
Ce qui vaut à la firme ce classement, c’est de l’avis des gens qui y travaillent, d’abord pour la culture du cabinet qui allie respect et attention à l’égard du personnel; ensuite pour l’engagement du cabinet pour des œuvres communautaires et de charité; enfin pour les programmes de mentorat qui y sont mis en place.
Stikeman Elliott
Le cabinet de Pierre Raymond a le vent en poupe en ce moment.
Hier, parmi la liste des 70 meilleurs, aujourd’hui meilleur employeur.
Si les salariés se disent contents d’y travailler, c’est avant tout car le cabinet offre un travail de qualité et fait tout pour « attirer et retenir les meilleurs talents du marché ». Autres points forts de la firme : son implication dans le domaine social et les programmes de mentorat et formation continue proposés à l’interne.
Bennett Jones
Un vétéran dans la catégorie puisque la firme est présente dans cette liste des meilleurs employeurs depuis neuf années consécutives.
Elle y figure encore cette année, notamment pour les avantages sociaux, le programme d’aide à la famille, et les formations interactive proposées par le cabinet.
Voilà maintenant vous savez où travailler en 2011, y’a plus qu’à envoyer les CV !
Rappelons que le sondage Employeurs de choix au Canada, en est à sa douzième année.
Le sondage de 2011 a compilé les données de deux cent cinquante et un employeurs.
Aon Hewitt a mesuré le dévouement des employés en se concentrant sur les employés qui parlaient en bien de leur employeur à d’autres personnes, sont déterminés à demeurer à l’emploi de ce dernier et sont motivés par la culture de leur employeur qui consiste à se surpasser pour contribuer au succès de l’entreprise. La note moyenne de dévouement obtenue par les sociétés qui figurent sur la liste des employeurs de choix était de 80 pour cent.
Pour consulter la liste entière des 50 meilleurs employeurs au Canada, cliquez-ici.
''Photo :'' Scott.Jolliffe, associé directeur de Gowlings
10184
Anonyme
il y a 14 ansEngagement communautaire, implication sociale, oeuvres de charité.
Pour un instant j'ai cru que l'on parlait de l'Abbé Pierre ou du Frère André.
De vrais âmes généreuses au service des pauvres, démunis et exclus de la société ces avocats de grands cabinets...ou plutôt de sociétés en difficultés; abitibi bowater, tembec, québécor, garda, etc.
Activité de charité
il y a 14 ans> Engagement communautaire, implication sociale, oeuvres de charité.
Je suis curieux de voir à quoi ressemble le bilan d'une activité de charité de "grand bureau"
Recettes:
500$/billet x 200 billets =
+100 000$
Coût:
- 15 000$ (caviar)
- 30 000$ (vin)
- 40 000$ (limousines)
- 3 000$ (prix de présence)
- 2 000$ (service de valets)
- 5 000$ (vérif. comptable)
----------
Résultat:
+ 5 000$
L'image: la semaine suivante en page titre du "Monde juridique": "les associés du bureaux, dans leur mansuétude infinie, ont unis leurs efforts afin de soulager la souffrance des femmes battues".
La réalité: les associés du bureaux se sont bourrés la gueule, pour ne laisser en tout qu'une poignée de "change". Le lendemain, encore saoul, un des associés siègeant au conseil d'administration de l'Accueil des pauvres, présentait une résolution visant à dissoudre l'organisme, afin de mâter le syndicat et de convaincre la "clientèle" de se grouiller le cul.
Anonyme
il y a 14 ans> > Engagement communautaire, implication sociale, oeuvres de charité.
>
> Je suis curieux de voir à quoi ressemble le bilan d'une activité de charité de "grand bureau"
>
> Recettes:
> 500$/billet x 200 billets =
> +100 000$
>
> Coût:
> - 15 000$ (caviar)
> - 30 000$ (vin)
> - 40 000$ (limousines)
> - 3 000$ (prix de présence)
> - 2 000$ (service de valets)
> - 5 000$ (vérif. comptable)
> ----------
> Résultat:
> + 5 000$
>
> L'image: la semaine suivante en page titre du "Monde juridique": "les associés du bureaux, dans leur mansuétude infinie, ont unis leurs efforts afin de soulager la souffrance des femmes battues".
>
> La réalité: les associés du bureaux se sont bourrés la gueule, pour ne laisser en tout qu'une poignée de "change". Le lendemain, encore saoul, un des associés siègeant au conseil d'administration de l'Accueil des pauvres, présentait une résolution visant à dissoudre l'organisme, afin de mâter le syndicat et de convaincre la "clientèle" de se grouiller le cul.
Vous avez raison... Vite, tous ces méchants capitalistes devraient arrêter tout de suite de donner de l'argent à des organismes qui en ont besoin, c'est honteux!
Activité de charité
il y a 14 ans> Vous avez raison... Vite, tous ces méchants capitalistes devraient arrêter tout de suite de donner de l'argent à des organismes qui en ont besoin, c'est honteux!
Ce n'est pas honteux, c'est hypocrite.
Anonyme
il y a 14 ansLe cynisme est tout a fait acceptable mais encore faut il qu'il soit employé par une personne possédant un minimum d'intelligence.
Ce que mon distingué confrère plus haut tente de mettre en évidence est que les grands bureaux donnent des miettes à des organismes de charité simplement pour obtenir un coup de pub en se faisant passer pour des gens charitables et soucieux de la condition humaine.
La plupart des gens donnent du temps et de l'argent mais ne font pas de publicité pour montrer aux autres ce qu'ils font parce que leurs intentions sont authentiques. Lorsqu'on donne alors qu'on a rien à foutre de la cause en question mais on essaie de passer un message du type "regardez nous, nous donnons à l'organisme XYZ, nous sommes gentils, avons de la compassion et sommes dotés de valeurs humaines", vaut mieux ne rien donner du tout.
> > > Engagement communautaire, implication sociale, oeuvres de charité.
> >
> > Je suis curieux de voir à quoi ressemble le bilan d'une activité de charité de "grand bureau"
> >
> > Recettes:
> > 500$/billet x 200 billets =
> > +100 000$
> >
> > Coût:
> > - 15 000$ (caviar)
> > - 30 000$ (vin)
> > - 40 000$ (limousines)
> > - 3 000$ (prix de présence)
> > - 2 000$ (service de valets)
> > - 5 000$ (vérif. comptable)
> > ----------
> > Résultat:
> > + 5 000$
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> > L'image: la semaine suivante en page titre du "Monde juridique": "les associés du bureaux, dans leur mansuétude infinie, ont unis leurs efforts afin de soulager la souffrance des femmes battues".
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> > La réalité: les associés du bureaux se sont bourrés la gueule, pour ne laisser en tout qu'une poignée de "change". Le lendemain, encore saoul, un des associés siègeant au conseil d'administration de l'Accueil des pauvres, présentait une résolution visant à dissoudre l'organisme, afin de mâter le syndicat et de convaincre la "clientèle" de se grouiller le cul.
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> Vous avez raison... Vite, tous ces méchants capitalistes devraient arrêter tout de suite de donner de l'argent à des organismes qui en ont besoin, c'est honteux!