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Marie Deschamps prend sa retraite
La Presse Canadienne
2012-05-18 13:15:00
Le premier ministre Stephen Harper aura un nouveau juge à nommer à la Cour suprême avant la fin de l'été.
La cour annonce que Marie Deschamps prendra sa retraite le 7 août prochain, exactement 10 ans après y avoir été nommée.
Avant d'arriver au plus haut tribunal du pays, la juge Deschamps, 59 ans, avait siégé à la Cour d'appel du Québec et à la Cour supérieure. Les juges de la Cour suprême sont nommés jusqu'à l'âge de 75 ans, ou jusqu'à ce qu'ils se retirent.
« Après 37 années à œuvrer principalement dans les salles de cour, dont 22 ans à titre de juge, j’estime qu’il est temps d’explorer d’autres façons de rendre service à la société. Il y a tant à faire, dans tant de domaines », a déclaré la juge Deschamps.
Le juge qui remplacera Mme Deschamps sera le cinquième nommé par M. Harper. Au moins un des choix passés du premier ministre conservateur a été vivement critiqué; M. Harper a nommé Michael Moldaver, juge unilingue anglophone.
L'opposition néo-démocrate avait, depuis, tenté, en vain, de faire adopter une loi qui obligerait les juges de la Cour suprême à maîtriser les deux langues officielles du pays.
L'unilinguisme du prochain juge de la cour est peu probable puisque celui-ci devra venir du Québec.
Avant d'arriver au plus haut tribunal du pays, la juge Deschamps, 59 ans, avait siégé à la Cour d'appel du Québec et à la Cour supérieure. Les juges de la Cour suprême sont nommés jusqu'à l'âge de 75 ans, ou jusqu'à ce qu'ils se retirent.
« Après 37 années à œuvrer principalement dans les salles de cour, dont 22 ans à titre de juge, j’estime qu’il est temps d’explorer d’autres façons de rendre service à la société. Il y a tant à faire, dans tant de domaines », a déclaré la juge Deschamps.
Le juge qui remplacera Mme Deschamps sera le cinquième nommé par M. Harper. Au moins un des choix passés du premier ministre conservateur a été vivement critiqué; M. Harper a nommé Michael Moldaver, juge unilingue anglophone.
L'opposition néo-démocrate avait, depuis, tenté, en vain, de faire adopter une loi qui obligerait les juges de la Cour suprême à maîtriser les deux langues officielles du pays.
L'unilinguisme du prochain juge de la cour est peu probable puisque celui-ci devra venir du Québec.
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