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McCarthy : moins de coupures au Québec
Rene Lewandowski
2009-04-07 13:55:00
Les bureaux de Montréal et de Québec sont touchés par les coupures chez McCarthy Tétrault mais les dommages sont moins importants que dans les autres bureaux canadiens du cabinet.
C’est ce qu’a affirmé hier soir Barbara Boake, associée et leader national, Professionnels, de McCarthy.
Dans un bref entretien téléphonique avec Droit-inc.com, Me Boake a indiqué du bout des lèvres que les coupures représentent 3% des effectifs de la firme, mais que ce pourcentage est encore moins élevé au Québec.
Me Boake n’a toutefois pas voulu dire combien d’avocats et d’employés de soutien perdaient leur job au Québec, affirmant que cette information était confidentielle.
Elle s’est contenté de répéter ce qu’elle avait déjà dit la veille au National Post, entre autres que le cabinet voulait s’assurer d’avoir le bon nombre de professionnels pour le niveau de travail et que les jeunes avocats demeurent occupés.
En faisant le calcul – McCarthy compte environ 660 avocats multiplié par 3% -, on estime donc entre 15 et 20 le nombre d’avocats touchés par ces mises à pieds à travers le Canada. Il faut aussi ajouter un nombre indéterminé d’employés de soutien.
Interrogée par Droit-inc.com sur quels critères on s’était basé pour choisir de licencier un avocat plutôt qu’un autre, encore une fois Me Boake n’a pas voulu répondre, évoquant la confidentialité de telles décisions.
Seule Me Boake, du bureau de Toronto, était autorisée à commenter ces coupures, incluant celles concernant les bureaux de Montréal et de Québec.
Dans un bref entretien téléphonique avec Droit-inc.com, Me Boake a indiqué du bout des lèvres que les coupures représentent 3% des effectifs de la firme, mais que ce pourcentage est encore moins élevé au Québec.
Me Boake n’a toutefois pas voulu dire combien d’avocats et d’employés de soutien perdaient leur job au Québec, affirmant que cette information était confidentielle.
Elle s’est contenté de répéter ce qu’elle avait déjà dit la veille au National Post, entre autres que le cabinet voulait s’assurer d’avoir le bon nombre de professionnels pour le niveau de travail et que les jeunes avocats demeurent occupés.
En faisant le calcul – McCarthy compte environ 660 avocats multiplié par 3% -, on estime donc entre 15 et 20 le nombre d’avocats touchés par ces mises à pieds à travers le Canada. Il faut aussi ajouter un nombre indéterminé d’employés de soutien.
Interrogée par Droit-inc.com sur quels critères on s’était basé pour choisir de licencier un avocat plutôt qu’un autre, encore une fois Me Boake n’a pas voulu répondre, évoquant la confidentialité de telles décisions.
Seule Me Boake, du bureau de Toronto, était autorisée à commenter ces coupures, incluant celles concernant les bureaux de Montréal et de Québec.
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