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PAPE de GM: Osler et Stikeman dans le coup!
Agnès Wojciechowicz
2010-11-25 14:15:00
Le retour en bourse à New York et à Toronto de GM a été salué par les investisseurs… et par la cohorte d’avocats qui a travaillé à la réintroduction boursière du géant de l’automobile. Parmi eux, deux cabinets canadiens.
Au Canada, les deux cabinets à avoir planché sur le dossier de GM sont Osler et Stikeman.
L’équipe d’Osler a représenté Gm; elle était composée par les associés Steve Smith et Janet Salter, du bureau de Toronto.
Du côté de Stikeman Elliott, ce sont James Davis, Mihkel Voore, Sean Vanderpol et Jonah Mann du bureau torontois, qui ont agi à titre de conseillers juridiques canadiens auprès des preneurs fermes.
Le montant touché dans cette vaste opération par les deux cabinets juridiques n’est pas connu. En revanche, on connaît la somme qu’auraient touché leurs confrères américains.
Le cabinet Jenner et Bloch aurait ainsi engrangé 6,5 millions de dollars pour son travail sur ce dossier, rapporte The AM Law Daily. Et ce sont Joseph Gromacki, William Tolbert Jr. et Brian Boch du cabinet de Chicago qui auraient élaboré la stratégie et réglé la réintroduction en bourse de GM.
Parmi les preneurs fermes, SAIC a été représentée par Linklaters et les associés Scott Sonnenblick et Jeffrey Schmidt ainsi que par les conseillers juridiques Richard Gu et Jeff Zhang.
Le cabinet Paul, Weiss, Rifkind, Wharton et Garrison et plus particulièrement Edwin "Ted" Maynard, Matthew Abbott, et Andrew Foley ont conseillé GEN Investment Corporation, une filiale appartenant au gouvernement canadien.
Enfin, Davis Polk et Wardwell et ses associés Richard Drucker et Sarah Beshar ont conseillé les preneurs fermes sur l'IPO dirigée par Bank of America, Merrill Lynch, Citigroup, JPMorgan Chase et Morgan Stanley.
Une semaine après son introduction en bourse, un spot publicitaire était diffusé sur les chaînes américaines dans lequel GM remerciait les américains.
Le plan de sauvetage de la compagnie de Détroit avait été effectivement financé par Washington à la hauteur de 52 milliards de dollars.
Pourtant le gouvernement fédéral canadien et le gouvernement provincial de l'Ontario ont eux-aussi mis la main à la poche en investissant 9,5 milliards.
À quand une réclame pour remercier le peuple canadien?
L’équipe d’Osler a représenté Gm; elle était composée par les associés Steve Smith et Janet Salter, du bureau de Toronto.
Du côté de Stikeman Elliott, ce sont James Davis, Mihkel Voore, Sean Vanderpol et Jonah Mann du bureau torontois, qui ont agi à titre de conseillers juridiques canadiens auprès des preneurs fermes.
Le montant touché dans cette vaste opération par les deux cabinets juridiques n’est pas connu. En revanche, on connaît la somme qu’auraient touché leurs confrères américains.
Le cabinet Jenner et Bloch aurait ainsi engrangé 6,5 millions de dollars pour son travail sur ce dossier, rapporte The AM Law Daily. Et ce sont Joseph Gromacki, William Tolbert Jr. et Brian Boch du cabinet de Chicago qui auraient élaboré la stratégie et réglé la réintroduction en bourse de GM.
Parmi les preneurs fermes, SAIC a été représentée par Linklaters et les associés Scott Sonnenblick et Jeffrey Schmidt ainsi que par les conseillers juridiques Richard Gu et Jeff Zhang.
Le cabinet Paul, Weiss, Rifkind, Wharton et Garrison et plus particulièrement Edwin "Ted" Maynard, Matthew Abbott, et Andrew Foley ont conseillé GEN Investment Corporation, une filiale appartenant au gouvernement canadien.
Enfin, Davis Polk et Wardwell et ses associés Richard Drucker et Sarah Beshar ont conseillé les preneurs fermes sur l'IPO dirigée par Bank of America, Merrill Lynch, Citigroup, JPMorgan Chase et Morgan Stanley.
Une semaine après son introduction en bourse, un spot publicitaire était diffusé sur les chaînes américaines dans lequel GM remerciait les américains.
Le plan de sauvetage de la compagnie de Détroit avait été effectivement financé par Washington à la hauteur de 52 milliards de dollars.
Pourtant le gouvernement fédéral canadien et le gouvernement provincial de l'Ontario ont eux-aussi mis la main à la poche en investissant 9,5 milliards.
À quand une réclame pour remercier le peuple canadien?
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