Rejet de l'appel du policier iranien en Cour suprême

La Presse Canadienne
2012-02-23 12:15:00
L'histoire remonte à 1997 lorsque M. Golzarian s'est dit victime d'intimidation de la part de ses collègues en raison de son origine ethnique. La Commission des droits de la personne du Québec lui a donné raison, accordant dommages moraux et ordonnant des correctifs, qui n'ont pourtant jamais été implantés.

La Cour supérieure et la Cour d'appel n'ont pas tranché en sa faveur.
M. Golzarian demandait également à la Cour suprême d'invalider certaines dispositions de la procédure impliquant le règlement de griefs de APPQ, qui contrevenait à son avis à la Charte canadienne des droits et libertés.
Comme s'en est la tradition, les magistrats du plus haut tribunal du pays n'ont pas expliqué les raisons du rejet de l'autorisation d'appel.
La demande de recours auprès de la Cour Suprême peut être téléchargée ici.
La décision de rejet de la Cour suprême peut être consultée là.