Une avocate en chute libre
Nicholas Teasdale
2010-08-10 14:15:00
« J’avais vraiment peur. J’avais confiance en mon moniteur et je me suis dit qu’au prix que j’avais payé, j’étais mieux de sauter », se souvient-elle.

Certains atterrissages ont été moins agréables que d’autres, notamment lorsqu’elle a abouti sur une base militaire ou encore dans un champ de maïs. Elle a vu des parachutistes inexpérimentés se blesser en touchant le sol, mais ne s’est jamais sentie en danger et n’a jamais vu un saut tourner au vinaigre. « Les accidents arrivent quand un sauteur essaie quelque chose qu’il n’est pas capable de faire ou qu’il se donne trop de vitesse à l’atterrissage. C’est presque toujours la faute de la personne qui se blesse. »
Expérimenter, en pratique comme en parachute Me Létourneau, admise au Barreau en 1998, pratique principalement en droit de la famille, mais elle aime toucher à tout, du droit criminel au droit civil commercial.
Elle s’occupe également de l’ensemble de ses dossiers et les plaide elle-même.
« Je n’aime pas me décrire comme une généraliste. Je préfère dire que je suis polyvalente. Je ne voudrais surtout pas faire toujours la même chose.»
Même près avoir mis sa vie en danger 350 fois en parachute, la nervosité d’aller à la cour n’a toujours pas complètement disparu.
« J’ai encore un trémolo dans la voix avant de faire des représentations. Pourtant, tout s’efface dans la première minute. Bien sûr, il n’y a aucune mesure avec la sensation de sauter dans le vide à 13 000 pieds dans les airs. »
Martine Létourneau n’a jamais eu de commentaires négatifs à propos de son expérience de parachutiste. Peut-être est-ce parce qu’elle utilise les mêmes qualités au bureau et en avion.
« Je suis prête à innover et explorer de nouvelles avenues pour aider mes clients. Je vais prendre le risque si c’est la chose à faire. Je pense que c’est simplement un trait de personnalité », explique l’avocate.
Le plaisir de sauter

Elle se souvient aussi avec bonheur de sauts où elle a ouvert son parachute bien avant la limite habituelle de 2500 pieds, ce qui lui a permis de se promener en voilure pendant vingt minutes.
« J’ai pu en profiter pour manœuvrer dans les airs, faire des tours. C’est vraiment une belle sensation. »
« La chute libre, c’est un peu comme sortir son bras de l’auto à 120 km/h, sauf que c’est à 200km/h. Il y a beaucoup de pression. En fait, cela donne une impression de flottement, mais il ne faut pas s’y méprendre. On se lance dans le vide à toute vitesse. »
Inactive depuis deux ans, elle vient tout juste de « plier le réserve », c’est-à-dire s’assurer que le parachute de réserve s’ouvrira en cas de problème au parachute principal. Pour elle, le parachute fait partie de sa personnalité.
« J’aime prendre des risques, faire des expériences. J’ai besoin de me dépasser, de tester mes limites. »
Anonyme
il y a 15 ans> >>>>> Pour avoir fait de la compétition de haut niveau en sport et avoir plaidé, la comparaison est adéquate.
>
> Quand est-ce que j'ai contesté cela? Je critiquais seulement leur pertinence, nullement l'exactitude des comparaisons. Apprenez à lire, même si pour un sportif, cela est difficile.
Oui mon capitaine !
Me
il y a 15 ans}}Les accidents arrivent quand un sauteur essaie quelque chose qu’il n’est pas capable de faire ou qu’il se donne trop de vitesse à l’atterrissage. C’est presque toujours la faute de la personne qui se blesse.
....Quel commentaire complètement absurde et déconnecté de la réalité...Bref, un parachutiste d'expérience qui ne fait que des manoeuvres usuelles ne peut avoir d'accident...! Parlez-en à un urgentologue pour obtenir son opinion sur le sujet.
GBS
il y a 15 ansParce que vous vous y connaissez en parachutisme?
Ou alors allez-vous nous fantasmer une autre anecdote?
Me
il y a 15 ans}}Les accidents arrivent quand un sauteur essaie quelque chose qu’il n’est pas capable de faire ou qu’il se donne trop de vitesse à l’atterrissage. C’est presque toujours la faute de la personne qui se blesse.
....Quel commentaire complètement absurde et déconnecté de la réalité...Bref, un parachutiste d'expérience qui ne fait que des manoeuvres usuelles ne peut avoir d'accident...! Parlez-en à un urgentologue pour obtenir son opinion sur le sujet.
Pas besoin de s'y connaître pour saisir qu'un accident...est un accident. Le fait d'effectuer de nouvelles manoeuvres accroit certes le risque de produire un accident, mais vous devriez savoir que dans tout sport, un risque subsiste même si l'on ne désire pas épater la galerie. Par exemple, vous pourriez être frappé par un véhicule (une Nissan) lors de votre jogging matinal. C'est uniquement le Gros Bon Sens.
GBS
il y a 15 ansSi quelqu'un demande "quelles blessures peut-on se faire en jogging?", vous ne répondez pas "Ça arrive quand on ne s'étire pas, on ne s'échauffe pas, et quand un véhicule (une Nissan) vous écrapoutit", à moins bien sûr d'avoir le sens de l'humour.
Je suis curieux de savoir pourquoi vous avez cru bon de préciser que c'est une Nissan?
Anonyme
il y a 15 ansJ'aurais cru qu'un homme de votre statut social ne ferait son jogging qu'au MAA. Vous courez dans la rue avec les profanes. Vous me décevez cher Me.
Allez vous nous dire que vous sortez sur Crescent également?
> }}Les accidents arrivent quand un sauteur essaie quelque chose qu’il n’est pas capable de faire ou qu’il se donne trop de vitesse à l’atterrissage. C’est presque toujours la faute de la personne qui se blesse.
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> ....Quel commentaire complètement absurde et déconnecté de la réalité...Bref, un parachutiste d'expérience qui ne fait que des manoeuvres usuelles ne peut avoir d'accident...! Parlez-en à un urgentologue pour obtenir son opinion sur le sujet.
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> Pas besoin de s'y connaître pour saisir qu'un accident...est un accident. Le fait d'effectuer de nouvelles manoeuvres accroit certes le risque de produire un accident, mais vous devriez savoir que dans tout sport, un risque subsiste même si l'on ne désire pas épater la galerie. Par exemple, vous pourriez être frappé par un véhicule (une Nissan) lors de votre jogging matinal. C'est uniquement le Gros Bon Sens.