Financières des avocats(es)

Maladies graves: déjouez les pronostics !

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Sophie Ginoux

2023-11-02 13:15:00

Dans le domaine du droit, toute affaire repose sur des faits, et les statistiques ne mentent pas en matière de maladies graves. Alors, comment les avocats peuvent-ils les anticiper?

Nathalie Martel. Source: Financière des avocates et des avocats
Nathalie Martel. Source: Financière des avocates et des avocats
Nous contractons des assurances pour beaucoup de choses au cours de notre vie: notre voiture, notre habitation, notre pratique, nos médicaments, nos hypothèques, etc. Et nous pensons aussi souvent à assurer notre vie et notre potentielle invalidité.

Mais qu’arrive-t-il quand nous tombons très malades? Un ACV, un cancer, des brûlures graves, une paralysie, l’Alzheimer, la défaillance d’un organe… Rien ne nous protège contre ça, quels que soient notre âge et notre style de vie.

« Nous avons tous dans notre entourage rapproché plusieurs personnes qui ont été ou sont touchées par ces périodes traumatiques. Des amis, des parents, parfois des enfants », indique Nathalie Martel, conseillère à la Financière des avocates et des avocats.

Effectivement, un tiers des Canadiens (33,3 %) souffrent d’une maladie grave au cours de leur vie… et y survivent souvent. Plus précisément, 90 % des gens survivent à une crise cardiaque, et 80 % à un cancer.

Alors, comment se fait-il que seulement 3 % de ces mêmes Canadiens disposent d’une protection contre les maladies graves? La question se pose, surtout en temps de volatilité financière, alors que l’inflation touche tous les produits et services et que les taux d’intérêt mettent à mal notre capacité à épargner.

« En prenant conscience que 42 % des Canadiens, même nantis, ne pourraient pas vivre plus de six mois sur leurs économies en cas de maladie grave, mettons-nous par exemple dans la peau d’un ou d’une avocate contractant un cancer dans la cinquantaine, lance Mme Martel. Cette personne doit encore rembourser une hypothèque, l’achat d’une voiture et prendre en charge des adolescents à résidence et/ou de jeunes adultes à l’université. Or, en ne pratiquant plus pendant une période indéterminée, les revenus se tarissent et les dépenses immédiates s’accumulent, ce qui vient gruger les économies et fait vivre un stress financier dont on se passerait bien. Voilà ce qui peut être facilement évité grâce à une assurance maladies graves de la Financière. »

Assurance maladies graves ou invalidité ?

Le cas de figure avancé par Nathalie Martel illustre une confusion notoire entre l’assurance invalidité et celle touchant les maladies graves, qui se complètent plus qu’elles ne se concurrencent.

Pourquoi? Parce que lorsqu’on choisit une assurance invalidité, qui garantit le remplacement du revenu mensuel de la personne assurée (jusqu’à 16 000 dollars par mois chez la Financière), on dispose d’une sécurité d’esprit.

Mais attention, une période d’attente précède son versement, et surtout, ce montant ne couvre généralement pas tout ce qu’on a à débourser en plus lorsqu’on souffre d’une maladie grave. Traitements onéreux, matériel médical, rééducation, modifications de sa résidence, besoins d’assistance… On ne s’imagine pas les montants à investir lors de ces coups durs.

C’est précisément ce que l’assurance maladies graves de la Financière des avocates et des avocats vient régler, rapidement et efficacement. Conçue sous forme d’un versement immédiat et non imposable d’une somme allant de 25 000 à 1 000 000 de dollars dès l’annonce d’un diagnostic de 25 affections majeures, elle peut changer la donne pour de nombreux malades.

De plus, cette somme importante peut être utilisée à sa guise, puisqu’elle n’est pas liée à la présentation de reçus médicaux. On est ainsi totalement libre de l’investir dans des marges de crédit, de l’aide à domicile ou des traitements à l’étranger. Il est même possible de la recevoir tout en continuant à travailler!

« Cette assurance maladies graves ne remplace donc pas l’assurance invalidité, puisqu’elle n’a pas la même utilité. Mais elle la complète parfaitement, ce qui explique que nous la proposions comme un avenant à l’assurance vie temporaire dont disposent nos membres à la Financière » explique Mme Martel.

D’ailleurs, le tarif associé à cette protection supplémentaire est très abordable comparé à ses avantages, puisque par exemple, pour une couverture de 50 000 dollars, le versement mensuel s’élève une quinzaine de dollars par mois.

Alors, pourquoi s’en priver, quand on sait qu’une somme confortable et non imposable permet de se concentrer sur ce qui doit demeurer sa vraie priorité en cas de maladie grave: le processus de guérison? De quoi y penser à deux fois.
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