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Des statuettes volées et un banquier excédé par sa cliente raciste

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Delphine Jung

2017-12-01 11:00:00

Voici les insolites !

Un banquier escroque sa cliente « raciste »

L’avocat qui le défend, Me Manuel Abitbol
L’avocat qui le défend, Me Manuel Abitbol
L’homme a été jugé la semaine dernière à Bobigny, en France, pour avoir détourné près de 400 000 euros (environ 605 600 dollars) d’un plan d’assurance-vie à une cliente qu’il jugeait raciste, rapporte l’AFP.

Déjà poussé à bout par sa hiérarchie, l’homme de 27 ans, de confession musulmane, a basculé face « aux propos racistes et islamophobes » tenus selon lui par sa cliente, une octogénaire.

L’avocat qui le défend, Me Manuel Abitbol, estime que les faits qui sont reprochés à son client ne portent pas de « caractère crapuleux et qu’il n’y avait pas de volonté de s’enrichir ».

Un avocat collectionne les statuettes volées

La dernière en date: une statuette de Botero, dérobée à Paris.
Deux personnes seraient impliquées dans cette affaire: l’homme soupçonné de l’avoir dérobée a été mis en examen pour vols aggravés et placé en détention provisoire, tandis que l’avocat a été mis en examen pour recel de vols, rapporte l’AFP.

L’oeuvre est estimée à 425 000 euros (643 500 dollars) et a disparu d’une galerie du VIIe arrondissement de Paris le 4 novembre. Elle a été retrouvée chez un proche de Marcel Baldo, un avocat de 30 ans d’expérience.

Marcel Baldo, un avocat de 30 ans d’expérience
Marcel Baldo, un avocat de 30 ans d’expérience
L’auteur du vol, un quinquagénaire, a reconnu les faits. Il était déjà connu pour des affaires similaires. Il dit avoir remis le bronze à l’avocat. Lors d’une perquisition chez ce dernier, les enquêteurs ont retrouvé une statue pré-colombienne dérobée dans une galerie du VIe arrondissement et une statuette en bronze dérobée en mars sur le marché aux puces de Saint-Ouen, au nord de Paris.

Un avocat belge retrouve sa statuette d’un chien 12 ans après

Bonne surprise pour cet avocat belge qui a retrouvé une statuette en bronze créée par son père, en l’honneur d’un chien, et qui avait été volée en 2005. Depuis ce temps-là, elle était en vente dans une galerie de Rennes, en France, rapporte Le Télégramme.

La responsable de la galerie a expliqué aux policiers qu’elle avait acheté cette oeuvre pour 1000 euros (1500 dollars) sur un déballage marchand au Mans (France).

L’affaire étant prescrite, et le protagoniste principal étant décédé, aucune poursuite ne sera engagée à l'égard de la responsable de la galerie d'art, qui a fait valoir sa bonne foi.
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