Turcotte pris en exemple

Agence Qmi
2012-08-02 07:00:00
Il aurait également menacé avec le poing sa conjointe présentement enceinte en lui disant qu’elle « n’a pas assez mangé de volées et que, s’il la pognait, elle ne se relèverait pas ».

Lors de l’enquête sur remise en liberté, la juge de la Cour du Québec n’a pas manqué de rappeler les nombreux antécédents judiciaires de l’accusé pour menaces, extorsions et voies de fait.
Elle a également pris en compte le sérieux des menaces portées à l’endroit de sa conjointe et de ses enfants pour refuser sa remise en liberté.
Stéphane Marcotte restera donc détenu jusqu’au procès pour les deux accusations pour menace de causer la mort de ses enfants et menaces à l’endroit de sa conjointe, auxquelles il fait face.