Les cinq raisons de vos échecs

Céline Gobert
2012-08-23 14:15:00
Comment pensez-vous parvenir au succès si vous n’êtes pas convaincu que c’est possible ?, s’interroge le site Forbes.
Si vous ne croyez pas en vous et à votre future réussite, c’est comme si vous vous tiriez une balle dans le pied. Perdu d’avance.
Un autre obstacle tout aussi pernicieux : l’entourage. Souvent, les autres nous collent dans des cases, nous attribuent des étiquettes.
Vous pensez alors : « voici ce que je vaux, voilà ce que je suis, cela ne va pas changer. » Vraiment ? Mais d’après qui ?
Arrêtez de croire au déterminisme. Le seul artisan de votre succès, c’est vous-même.
2 Vous avez peur de « l’après »
Numéro un : vous ne voulez pas être perçu comme un « perturbateur ».
Mais, gravir les sommets et faire la différence exige de la force, exige peut-être même « d’entrer » en force, de s’éloigner de la norme, de ne pas rester statique.

Mais, souhaitez-vous vraiment que les gens se rappellent de vous comme d’un être apeuré, s’accrochant désespérément à son morceau de stabilité ?
Oubliez également l’excuse pitoyable du : « et si je meurs demain ? ». Oui, vous mourrez un jour. Comme tout le monde.
En attendant, ne restez pas lové dans le confort et la médiocrité.
3. Dire : « c’est le destin »
Vous pensez que s’il y a une raison à tout, c’est donc qu’il y en a sûrement une bonne qui explique vos échecs.
Encore une pensée qui ne vous mènera nulle part.
De nombreuses personnes croient à cette idée de « force supérieure », qui insufflerait un sens à tout ce qui nous arrive (surtout aux choses négatives, non ?)
Il apparaît surtout que c’est une belle parade de nos cerveaux pour gérer ce que l’on appelle : la peur de l’échec.
Ne vous contentez pas de ce que avez déjà, mais désirez toujours plus.
Votre carrière est confortable ? C’est bien ? Oui. Mais ce n’est pas grandiose.
Et puis, franchement, « confortable », c’est ce que vous désiriez au fond de vous ? Vraiment ?
4. Le risque, c’est dangereux
Vous pensez : « prendre un risque, c’est aussi prendre le risque de tout perdre. » ?
Non, pas forcément. Bien que vos craintes soient parfaitement légitimes, il vous faut relativiser.
Combien de personnes ont perdu tout ce qu’elles avaient construit à la sueur de leur front suite à la récession ? Pensez-y.
La vérité, c’est que vous pouvez tout perdre en un claquement de doigt sans que cela soit votre faute. Pourquoi donc vous interdire de faire ce que vous voulez vraiment ?
Oui, vous pouvez mourir. Oui, vous pouvez tout perdre. Et alors ?
Allez plutôt de l’avant.
5. Penser: « j’ai atteint mon maximum »
Ah oui, vraiment ?
Si vous arrivez à un point de votre carrière où vous vous dites : “voilà, je ne peux plus progresser maintenant”, il est temps de vous fixer d’autres buts.
Il n’y a pas de limites, VOUS n’avez pas de limites. Penser le contraire ne mène à rien. Et, une fois enfermé dans ce cercle vicieux, vous n’en sortirez plus.
Voyez toujours ce que vous pouvez faire de plus, de mieux, ce que vous pouvez accomplir, ailleurs et autrement.