Une carrière qui débute chez Monette Barakett

Céline Gobert
2018-08-15 08:30:00

«Au départ, je cherchais un cabinet à échelle humaine avec des valeurs communes aux miennes. Et c’est exactement ce que j’ai trouvé. C’est l’ambiance de travail et l’équipe qui m’ont donné envie de rester », explique l’avocat de 24 ans.
Il y pratiquera en droit du travail, de la santé et en litige civil. Ses mandats vont concerner notamment les relations de travail, la santé et sécurité, ou encore la négociation de conventions collectives.
«Ici, il n’y a pas de compétition malsaine entre les avocats. On m’a rapidement intégré, et on m’a fait confiance dès le début. Tout le monde est accessible», dit à Droit-inc celui qui a été assermenté le 11 juillet dernier.
De la rigueur
En 2016, Me Pichette a été assistant de recherche juridique stagiaire à la Cour supérieure du Québec auprès de l'honorable Pepita G. Capriolo. Une expérience qui lui a apporté beaucoup de «rigueur», dit-il.
«J’ai eu la chance d’avoir l’opinion d’une juge sur les méthodes de travail des avocats en matière de plaidoiries, de préparation de dossiers ou de plans d’argumentation.»
Diplômé en droit de l’Université de Montréal (2017), notons qu’il a également suivi un programme en anglais à l’Université de Colombie-Britannique pour parfaire sa maîtrise de la langue.
DSG
il y a 6 ansGoing to BC to learn English is very impressive. In Quebec it's almost impossible to learn English. You can't find English anywhere these days. Many of my French Canadian friends were forced to learn English by reading the translations on the boxes of their breakfast cereal. Prior to the complete eradication of English, Quebecers only went to BC to smoke pot.