Amélia chez Dutrizac bis

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L'équipe Droit-Inc

2010-06-25 12:04:00

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Décidément, Amélia Salehabadi est populaire auprès de l’animateur radiophonique Benoît Dutrizac, qui a interviewé la chroniqueuse vedette de Droit-inc.com pour une deuxième fois en autant de semaine.
Cette fois, Dutrizac la questionne sur le récent jugement du Collège Loyola.

Pour écouter l'entrevue de Benoît Dutrizac sur les ondes du 98,5 FM avec Amélia Salehabadi, cliquez ici.

Que pensez-vous de la performance radiophonique de votre chroniqueuse préférée?

imge #4118

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18440
24 commentaires
  1. Me
    Me
    Il y a beaucoup de choses à dire au sujet de quelq'un qui est ici depuis au moins 30 ans et qui parle comme une immigrante venue hier. Je ne dis pas qu'il faut s'adapter en adoptant le joaul, mais une certaine adaptation est requise. Les clients "sentent" le manque de volonté. Il faut s'adapter. Sinon, les clients quittent, la carrière tombe, on va en retraite anticipé et on se recycle en chroniqueuse.

  2. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    Pour répondre à MeMe
    Il vaut mieux être polyvalente comme Amélia et Natacha (à la fois journaliste, chroniqueuse et avocate) que bouffon méchant sur droit-inc, c’est beaucoup plus fun !

  3. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    Anonyme
    > Il y a beaucoup de choses à dire au sujet de quelq'un qui est ici depuis au moins 30 ans et qui parle comme une immigrante venue hier. Je ne dis pas qu'il faut s'adapter en adoptant le joaul, mais une certaine adaptation est requise. Les clients "sentent" le manque de volonté. Il faut s'adapter. Sinon, les clients quittent, la carrière tombe, on va en retraite anticipé et on se recycle en chroniqueuse.

    Il y a un peu de vrai dans ce qu'il dit...

  4. Me
    Me
    >>>>> Il vaut mieux être polyvalente comme Amélia et Natacha (à la fois journaliste, chroniqueuse et avocate) que bouffon méchant sur droit-inc, c’est beaucoup plus fun !


    Ça dépend. Légalement, il est vrai qu'il suffit de maintenir son abonnement au Barreau pour continuer à être considéré comme avocat. Toutefois, le "labelling" que la Loi sur le Barreau en fait n'est pas toujours en phase avec l'opinion des pairs...

  5. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    N importe k Me
    > >>>>> Il vaut mieux être polyvalente comme Amélia et Natacha (à la fois journaliste, chroniqueuse et avocate) que bouffon méchant sur droit-inc, c’est beaucoup plus fun !

    >
    > Ça dépend. Légalement, il est vrai qu'il suffit de maintenir son abonnement au Barreau pour continuer à être considéré comme avocat. Toutefois, le "labelling" que la Loi sur le Barreau en fait n'est pas toujours en phase avec l'opinion des pairs...

    Je ne comprends pas vos insinuations.
    Si vous vous avez quelques choses a dire, pourquoi vous ne le dites pas?
    >
    Me Salehabadi est une excellente et reconnue avocate qui est en sabbatique pour son livre et en meme temps elle fait des chroniques pour Droit inc.

    En passsant, ayant travaille avec elle, je peux vous dire d'abord qu'elle est arrivee au Canada a l'adolescence, un age ou l'accent est deja bien acquis pour une langue..et une fois avocate elle a surtout travaille a l 'etranger (ie la Chine, l'indes etc) pour le compte de grandes compagnies canadiennes. La ou on entend tres peu le quebecois.

    On dirait que vous avez un complexe vis a vis des gens qui ne parlent comme vous. Comme si Amelia vous snobez. Alors qu'elle adore le Quebec et a fait sa vie ici.Pourquoi tant de virulence contre elle?

  6. Anonyme
    Anonyme
    il y a 15 ans
    Anonyme
    >>> Me Salehabadi est une excellente et reconnue avocate

    C'est seulement son autobiographie sur son site web qui la présente comme reconnue. Ça vaut ce que ça vaut.

    • Anonyme
      Anonyme
      il y a 15 ans
      Re : Anonyme
      > >>> Me Salehabadi est une excellente et reconnue avocate
      >
      > C'est seulement son autobiographie sur son site web qui la présente comme reconnue. Ça vaut ce que ça vaut.


      Ah bon alors c est pour cela qu elle figurait dans le Canadian who's who", qu elle a ete nommee par le premier ministre canadien sur le conseil d administration de la corporatio commerciale canadienne, qu elle a invite a donne des cours aux membres de plusieurs team Canada....

      Mais c est quoi votre probleme ????

  7. anonyme
    anonyme
    il y a 15 ans
    anonyme
    c'est pas en naviguant dans les cocktails en chine qu'on a l'envergure pour parler aux médias du droit québecois. Me a pas mal raison.

  8. Me
    Me
    >>>>>> En passsant, ayant travaille avec elle, je peux vous dire d'abord qu'elle est arrivee au Canada a l'adolescence, un age ou l'accent est deja bien acquis pour une langue..et une fois avocate elle a surtout travaille a l 'etranger (ie la Chine, l'indes etc) pour le compte de grandes compagnies canadiennes. La ou on entend tres peu le quebecois.


    C'est pas parce que tu te déplaces en Chine ou en Inde pour quelques jours pour siroter du champagne et serrer des mains que tu "travailles à l'étranger". Réaliser des mandats c'est une chose. "Travailler à l'étranger" ça en est une autre. Je vais 5-6 fois par année à Toronto pour rencontrer des clients qui ont besoin de services juridiques ici. Dire que j'ai "travaillé à Toronto" serait stupide.

  9. Me
    Me
    On ne sait d'Amélia que ce que les fleurs auto-fabriqués de sa propre plume disent. Jamais vu ou entendu un pair corroborer. De plus, écrire soi-même sur son propre site web: "Reconnue comme une spécialiste en matière de projets commerciaux à l’international" fait largement mauvais goût et manque de classe, que cela soit vrai ou pas. Je rappelle que son cabinet compte 1 (un) membre. Inutile donc de faire semblant que le directeur-adjoint aux relations aux médias fabrique ces auto-fleurs.

  10. Me
    Me
    >>>>> En passsant, ayant travaille avec elle, je peux vous dire d'abord qu'elle est arrivee au Canada a l'adolescence, un age ou l'accent est deja bien acquis pour une langue..et une fois avocate elle a surtout travaille a l 'etranger (ie la Chine, l'indes etc) pour le compte de grandes compagnies canadiennes. La ou on entend tres peu le quebecois.


    Si quelques (ou nombreux) voyages d'affaires à l'étranger sont de nature à mettre des bâtons dans les roues dans l'adaptation de son pays de résidence, il y a des questions à se poser sur les capacités de la personne en question...

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