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Fin des poursuites pour Intel
Agnès Wojciechowicz
2010-08-05 11:15:00
Fin des poursuites pour pratiques abusives : le roi du microprocesseur vient de signer une entente avec la Commission Fédérale du Commerce américaine grâce aux conseils d'une pléthore de cabinets d'avocats.
Le bruit court à Washington D.C. que toutes les firmes d'avocats de la capitale auraient été impliquées dans la préparation de l’accord entre le roi du processeur et la Commission Fédérale du Commerce.
Intel aurait fait appel à pas moins de cinq cabinets pour la conseiller, rapporte The AmLawDaily.
Wilmer, Cutler, Pickering Hale & Dorr auraient joints leurs effectifs à ceux de Gibson, Dunn & Crutcher et Howrey, avocats de longue date de la compagnie.
Dans cette affaire le géant américain était accusé d'avoir recours à des méthodes peu orthodoxes comme celle de menacer ses concurrents afin de les éliminer, selon Argent.
La firme qui détient 80% du marché mondial, aurait par ailleurs pratiqué des rabais agressifs afin d’empêcher les fabricants d’ordinateurs d’utiliser des processeurs autres que les siens.
Le règlement signé hier entre la Commission et Intel, impose à cette dernière de mettre fin à ces pratiques douteuses et à cesser sa politique agressive.
La compagnie devra également donner accès à ses technologies aux fabricants de produits complémentaires et ne pourra plus exiger d’eux l’achat exclusif de ses processeurs en échange d’avantages.
Les ennuis de la compagnie ne sont pas terminés pour autant.
Intel devra encore répondre de ses pratiques commerciales devant une cour de justice américaine, après que le procureur général de New York, Andrew Cuomo, ait déposé un recours antitrust.
Intel aurait fait appel à pas moins de cinq cabinets pour la conseiller, rapporte The AmLawDaily.
Wilmer, Cutler, Pickering Hale & Dorr auraient joints leurs effectifs à ceux de Gibson, Dunn & Crutcher et Howrey, avocats de longue date de la compagnie.
Dans cette affaire le géant américain était accusé d'avoir recours à des méthodes peu orthodoxes comme celle de menacer ses concurrents afin de les éliminer, selon Argent.
La firme qui détient 80% du marché mondial, aurait par ailleurs pratiqué des rabais agressifs afin d’empêcher les fabricants d’ordinateurs d’utiliser des processeurs autres que les siens.
Le règlement signé hier entre la Commission et Intel, impose à cette dernière de mettre fin à ces pratiques douteuses et à cesser sa politique agressive.
La compagnie devra également donner accès à ses technologies aux fabricants de produits complémentaires et ne pourra plus exiger d’eux l’achat exclusif de ses processeurs en échange d’avantages.
Les ennuis de la compagnie ne sont pas terminés pour autant.
Intel devra encore répondre de ses pratiques commerciales devant une cour de justice américaine, après que le procureur général de New York, Andrew Cuomo, ait déposé un recours antitrust.
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