Fusion : les impacts au Québec

Rene Lewandowski
2010-11-09 13:15:00
Par exemple, quand un cabinet de Toronto a un client qui veut faire des affaires au Québec, il est de coutume de le référer à un cabinet de Montréal « ami ».
L’entente de référencement fonctionne bien entendu des deux côtes.
Ainsi, les Torys, Goodmans, Lang Michener, Bennet Jones… réfèrent depuis des années des dossiers au Québec aux indépendants comme Lavery, Lapointe Rosenstein, etc.
Au début des années 2000, il y avait même des ententes d’exclusivité entre certains bureaux, notamment entre feu DDSM et Torys.
Les cabinets sont beaucoup moins fidèles aujourd’hui…
Il n’empêche que cette fusion de McMillan avec Lang Michener aura des répercussions sur ce marché de référencement.
Car tous les dossiers que Lang Michener avaient l’habitude de référer aux quelques bureaux de Montréal seront désormais réacheminés chez McMillan.
Comme McMillan n’en recevait pas avant la fusion, le bureau de Montréal est donc le grand gagnant de ce mariage.
Les perdants? Tous les autres bureaux indépendants!
ESQ
il y a 14 ansThe writer forgot to analyse all effect of the transaction (i.e.) All business usually forwarded to Mcmillan by the other canadian Law firms, (competiters of LM) will now have to refer their clients to Lavery and MMLR.