Julius Grey au secours de l’imam Jaziri

L'équipe Droit-Inc
2009-12-10 12:22:00
«Ça se fait très souvent, ce type d'autorisation à la suite d'une expulsion. Ça n'a rien d'exceptionnel», a dit lundi le respecté juriste, qui ne voit aucun facteur en mesure de justifier un éloignement prolongé de l'imam, marié à une Québécoise convertie à l'islam.
Cette dernière élève seule leur fils, né quelques semaines après l'expulsion de son père, et deux enfants issus d'un précédent mariage. Elle souffre de dépression et ne peut travailler, au dire de son mari, pour qui elle a présenté une demande de parrainage.
Les autorités avaient évoqué, à l'appui de l'expulsion, le fait que M. Jaziri a caché à son arrivée au Canada en 1997 une condamnation prononcée quelques années plus tôt en France pour complicité de coups et blessures. On lui reprochait aussi d'avoir exagéré les sévices subis dans son pays d'origine en vue de faciliter l'obtention du statut de réfugié politique.
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