La décalade de Norton Rose

Emeline Magnier
2013-05-16 13:15:00

Me Jean-Philippe Buteau, associé, ainsi que Me Jean-Nicolas Prévost et Me Audrey St-Pierre, sociétaires ont participé à l'évènement qui comptait en tout 33 participants, parmi les membres de l'EO.
Se jeter dans le vide

"Le plus dur, c'est de se laisser tomber vers le sol, on est attaché mais on se lance quand même dans le vide”, dit celui qui avait choisi de porter un tee-shirt de superman pour l’occasion.
Pour Me St-Pierre, la plus grande difficulté a été de contrôler la descente. "J'ai fait plusieurs acrobaties”, raconte l'avocate en droit des sociétés, plus à l’aise en fusion-acquisition que suspendue au bout d’une corde.
Galvanisés

Si les deux avocats indiquent qu'ils répéteraient probablement l'exercice si l'occasion se présentait, ils précisent que le stress serait encore bien présent: "Je ne me sens pas encore familier avec ça", dit Me Prévost.
D'après l'avocat, seules deux sociétés dans le monde proposent des activités de décalade: l'association canadienne de décalade et montain cross et une autre entreprise en Australie.
Cet événement, organisé pour souligner la quatrième année d’existence de l’EO Section Québec, se voulait avant tout un exercice rassembleur axé sur le dépassement de soi. Aucune préparation physique n'est requise, il faut utiliser sa force mentale.
"Cela m'a permis de vaincre une certaine peur et de prendre confiance en moi", conclut Me St-Pierre.