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L'association ? Non, merci !
Natacha Mignon
2010-07-12 11:15:00
La course pour devenir associé en cabinet n’a plus autant la cote que jadis chez les jeunes avocats...
C’est ce que révèle le sondage « 2010 Employee Satifaction Report » réalisé par Legalweek.com.
L’étude révèle que seuls 38 % des avocats britanniques admettent trimer en cabinet pour accéder à l’association.
Ils étaient 45 % en 2009 et 50 % en 2008.
Une question de sexe ?
Au moins en partie, car les femmes sont seulement 29 % à s’intéresser à l’association contre 48 % d’hommes.
« Cette tendance des jeunes professionnels à délaisser le parcours en cabinet pour des carrières alternatives est accentuée par le fait qu’il devient de plus en plus dur d’accèder à l’association », dit Berwin Leighton Paisner, associé de Neville Eisenberg.
En effet, le sondage basé sur les réponses de plus de 3 800 avocats suggère qu’ils sont nombreux à percevoir l’association comme une marche trop difficile à atteindre et peu se montrent près aux sacrifices induits.
Beaucoup des sondés se disent tentés par des carrières en services juridiques (22 %) voire en dehors du droit (11%).
Anthony Ward (en photo) le patron de Shearman & Sterling confirme.
« L’association est plus dure à atteindre qu’il y a dix ans, dit-il. On comprend que les carrières en banque ou en services juridiques soient attirantes pour beaucoup aujourd’hui. »
Pour tous les détails (en anglais), cliquez-ici.
L’étude révèle que seuls 38 % des avocats britanniques admettent trimer en cabinet pour accéder à l’association.
Ils étaient 45 % en 2009 et 50 % en 2008.
Une question de sexe ?
Au moins en partie, car les femmes sont seulement 29 % à s’intéresser à l’association contre 48 % d’hommes.
« Cette tendance des jeunes professionnels à délaisser le parcours en cabinet pour des carrières alternatives est accentuée par le fait qu’il devient de plus en plus dur d’accèder à l’association », dit Berwin Leighton Paisner, associé de Neville Eisenberg.
En effet, le sondage basé sur les réponses de plus de 3 800 avocats suggère qu’ils sont nombreux à percevoir l’association comme une marche trop difficile à atteindre et peu se montrent près aux sacrifices induits.
Beaucoup des sondés se disent tentés par des carrières en services juridiques (22 %) voire en dehors du droit (11%).
Anthony Ward (en photo) le patron de Shearman & Sterling confirme.
« L’association est plus dure à atteindre qu’il y a dix ans, dit-il. On comprend que les carrières en banque ou en services juridiques soient attirantes pour beaucoup aujourd’hui. »
Pour tous les détails (en anglais), cliquez-ici.
Allons plus loin ensemble :
Répondez à notre sondage et dites-nous pour vous ce que représente l’association.
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