L'honneur de Saputo en hausse, le Français des avocats en baisse

Amélia Salehabadi
2010-06-29 13:15:00
L'honneur de Saputo...
Dans une décision passée en dessous des radars médiatiques, l'honneur de la compagnie Saputo inc., de l'Impact de Montréal et de Joey Saputo a été réparé par un jugement de l'honorable Michel Deziel.
Il s'agissait d’un ex-journaliste sportif d'origine bulgare qui criait haut et fort et par tous les moyens (sur internet, par lettres à des banques ou par tracts) que la famille Saputo était liée à la pègre.
Cela malgré deux ordonnances, assez claires ma foi, lui interdisant de répandre ce genre de propos.
L'honorable Michel Deziel déclara donc l'individu coupable d'outrage au tribunal sur les deux ordonnances.
Voulant en savoir plus sur le dossier et obtenir une réaction de la part des requérants à la suite de ce jugement favorable, j'ai bien tenté de les rejoindre.
Malheureusement, Me Neil Peden de chez Woods, représentant Saputo, et cie ne m'avait toujours pas rappelée à l'heure de la tombée.
Pas de chance non plus avec la directrice des communications de Saputo, Madame Vachon qui bien que fort aimable m'indiqua que « Saputo ne commentait jamais une cause devant les tribunaux ».
Même un message laissé à Lino Saputo Jr., où je faisais appel à sa fibre paternelle, en indiquant que son fiston avait gagné contre l'équipe de soccer de mon fiston la veille de la St jean, ne fit pas rien.
La bataille n'était pas finie pour autant dans ma recherche d'informations dans ce dossier.
Dans un de ses tracts distribués par le défendeur lors d'une conférence donnée par Lino A. Saputo Jr. à la Chambre de commerce du Montréal Métropolitain, Me Lucien Bouchard était vivement critiqué également.
L’ancien premier ministre du Québec et associé chez DWPV, y était attaqué, car il siège notamment sur le conseil d'administration de Saputo inc.
J'ai voulu savoir si Me Bouchard avait réagi d'une façon ou d'une autre, légalement parlant, contre ces propos diffamants visiblement.
Pas de réponse malheureusement avant l'heure de tombée…
En Baisse
Ces avocats qui ne savent pas écrire...
Je vous préviens : je ne vais pas faire dans la dentelle et cela risque de faire mal.
Et d'emblée, j'avoue que je ne suis sans doute pas celle qui devrait donner des leçons en la matière.
Vous savez quoi, je vais le faire quand même.
Donc, je me plaignais de ces avocats qui ne savent pas écrire.
Corrigez-moi si je me trompe, mais il me semble bien que le véhicule phare de notre métier d'avocat soit justement la capacité de jongler adroitement avec les mots.
Un maniement des mots, qui tout en étant précis et juste, coulerait avec fluidité et clarté pour convaincre l'interlocuteur. Pas besoin d'envolée lyrique ou de thèse de doctorat.
Juste une idée par phrase avec une grammaire (incluant la conjugaison et la ponctuation) acceptable ferait l'affaire.
De quoi faire passer le message du premier coup dans la belle langue de Molière, voilà c'est tout.
Je vous fais grâce de l'état de prestation de très nombreux avocats (mais également faut-il malheureusement le souligner) de magistrats lors des échanges verbaux au palais.
Sujet d'une autre chronique. J'en ai des perles, à en rire ou à en pleurer. C'est selon.
Heureusement (me dis-je alors tout bas), que les paroles s'envolent (très loin, espérons-le)
Mais revenons à ces fameux écrits, qui eux, restent.
Tiens je ne vais même pas causer des procédures déposées à la greffe. Trop facile.
Je vais me contenter des échanges épistolaires entre confrères.
Ceux dont les clients (qui paient de gros sous), sont copiés dessus.
Nous recevons tous de ces lettres de confrères où vraiment on se demande, mais « qu'est-ce qu'il veut bien dire? »
Des lettres, style « lorsqu'on peut faire compliqué, pourquoi faire simple »
Des lettres à côté desquelles, les prédictions de Nostradamus sont d'une limpidité extraordinaire.
Entre collègues, la réputation est encore sauve.
Pas de chance, par contre lorsque ces écrits sont reproduits dans un jugement.
Moins de chance encore lorsque la méchante-Amélia tombe dessus lors de sa revue de la jurisprudence récente du Québec.
Mais remarquez bien, c'est un exemple parmi tant d'autres.
Dans un jugement de la cour supérieure rendu récemment, l'honorable juge Verrier reproduit in extenso une lettre qu'une avocate a envoyée à son adversaire:
« La présente fait suite à votre lettre du 6 septembre 2007, relativement au dossier mentionné en titre, laquelle se veut une réponse partielle, décevante et surprenante au projet de bail que nous vous avons transmis en novembre 2006, à la réclamation au montant de 212 085,32 $ que nous vous adressions le 4 avril 2007 et aux nombreuses demandes d'intervention que nous avons formulées relativement aux trois (3) refoulements d'égouts que notre cliente a subis au cours de l'été 2007. »
Et j'en passe.
Et si le Barreau obligeait les avocats, dans le programme de formation continue, à prendre un minimum de cours de grammaire française, avec un examen en fin de compte?
Question de dignité de la profession des avocats...

''Crédit photo:'' Anthony Rancourt
Meaucarré
il y a 15 ansC'est ce que vous trouvez de mieux à dire pour parler de la langue défaillante des avocats? Au mois, Me Launay sait écrire et ne publie pas des bêtises sur droit-inc, dans des chroniques rédigées à la sauvette, pleines de coquilles et autres affrosités.
Meaucarré
il y a 15 ans> C'est ce que vous trouvez de mieux à dire pour parler de la langue défaillante des avocats? Au mois, Me Launay sait écrire et ne publie pas des bêtises sur droit-inc, dans des chroniques rédigées à la sauvette, pleines de coquilles et autres affrosités.
Toutes mes excuses pour la coquille qui était présente dans mon propre commentaire, "Au mois" devant se lire "Au moins".
Anonyme
il y a 15 ans> C'est ce que vous trouvez de mieux à dire pour parler de la langue défaillante des avocats? Au mois, Me Launay sait écrire et ne publie pas des bêtises sur droit-inc, dans des chroniques rédigées à la sauvette, pleines de coquilles et autres affrosités.
Vous avez raison, mais ce qu'elle est belle tout de même... Bye. Bruno B.
Olivier
il y a 15 ans"Nous recevons tous de ces lettres de confrères ou vraiment on se demande, mais « qu'est-ce qu'il veut bien dire? »
(...)
« La présente fait suite à votre lettre du 6 septembre 2007, relativement au dossier mentionné en titre, laquelle se veut une réponse partielle, décevante et surprenante au projet de bail que nous vous avons transmis en novembre 2006, à la réclamation au montant de 212 085,32 $ que nous vous adressions le 4 avril 2007 et aux nombreuses demandes d'intervention que nous avons formulées relativement aux trois (3) refoulements d'égouts que notre cliente a subis au cours de l'été 2007. »"
Cette phrase est peut-être lourde et longue mais elle est relativement simple : Me Gagné indique que sa lettre est en réponse à une autre lettre portant sur 3 sujets qu'elle énumère.
Peut-être est-ce vous qui avez de la difficulté à lire les textes qui dépassent 140 caractères.
"Le web est en train d'emporter ce qu'il vous restait de capacité à lire, pas seulement en profondeur mais pire, en limitant votre rapport au langage dans ce qu'il a de «pratique» pour communiquer."
http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/pierre-foglia/200906/22/01-878053-inquiet.php
Par ailleurs, étant donné le reproche que vous adressez à Me Gagné, ce sont des cours de syntaxe ou de style que vous devriez lui recommander, plutôt que des cours de grammaire.
À tout le moins, vous auriez pu trouver un meilleur exemple.
Anonyme
il y a 15 ansJe trouve cette lettre est limpide, exempte de fautes et rédigée dans un français (et non Français) plus que correct. Mentionnons aussi qu'il y a habituellement peu de chance de trouver des documents dans une greffe, sauf oubli d'un chirurgien distrait.
Anonyme
il y a 15 ansEn passant, il est plutôt particulier de voir que la politique de censure de droit-inc est appliquée aux commentaires, mais pas aux articles. Il me semble qu'il y a ici un grave problème de courtoisie entre confrères, ou plutôt entre consoeurs.
Anonyme
il y a 15 ansChère consoeur,
Il est décevant de constater que certaines gens doivent s’affairer à salir publiquement leurs consoeurs et confrères pour tenter maladroitement de s’anoblir comme rédacteur de commérages.
Je suis surpris que vous utilisiez la toile pour publier des commentaires déplacés sur une avocate dont la réputation n’est plus à faire et dont la rédaction est irréprochable. Si le maniement exemplaire de la langue de Molière est un atout que doivent posséder les avocats, la courtoisie et le respect entre confrères en sont d’autres tout aussi essentiels dont certains ne semblent pas disposer.
Par ailleurs, je suis en accord avec votre commentaire introductif à l’effet que vous êtes mal placée pour donner des leçons en matière de rédaction française.
Je salue les avocates et avocats comme Me Gagné qui emploient leur temps à faire avancer le droit au Québec plutôt que de l’utiliser à la rédaction d’articles vides de contenu qui ne font que nuire à la réputation de la profession juridique.
Anonyme
il y a 15 ans> Chère consoeur,
>
> Il est décevant de constater que certaines gens doivent s’affairer à salir publiquement leurs consoeurs et confrères pour tenter maladroitement de s’anoblir comme rédacteur de commérages.
>
> Je suis surpris que vous utilisiez la toile pour publier des commentaires déplacés sur une avocate dont la réputation n’est plus à faire et dont la rédaction est irréprochable. Si le maniement exemplaire de la langue de Molière est un atout que doivent posséder les avocats, la courtoisie et le respect entre confrères en sont d’autres tout aussi essentiels dont certains ne semblent pas disposer.
>
> Par ailleurs, je suis en accord avec votre commentaire introductif à l’effet que vous êtes mal placée pour donner des leçons en matière de rédaction française.
>
> Je salue les avocates et avocats comme Me Gagné qui emploient leur temps à faire avancer le droit au Québec plutôt que de l’utiliser à la rédaction d’articles vides de contenu qui ne font que nuire à la réputation de la profession juridique.
Vous avez raison, mais ce qu'elle est belle tout de même... Bye. Bruno B.
The Dude
il y a 15 ans> > Chère consoeur,
> >
> > Il est décevant de constater que certaines gens doivent s’affairer à salir publiquement leurs consoeurs et confrères pour tenter maladroitement de s’anoblir comme rédacteur de commérages.
> >
> > Je suis surpris que vous utilisiez la toile pour publier des commentaires déplacés sur une avocate dont la réputation n’est plus à faire et dont la rédaction est irréprochable. Si le maniement exemplaire de la langue de Molière est un atout que doivent posséder les avocats, la courtoisie et le respect entre confrères en sont d’autres tout aussi essentiels dont certains ne semblent pas disposer.
> >
> > Par ailleurs, je suis en accord avec votre commentaire introductif à l’effet que vous êtes mal placée pour donner des leçons en matière de rédaction française.
> >
> > Je salue les avocates et avocats comme Me Gagné qui emploient leur temps à faire avancer le droit au Québec plutôt que de l’utiliser à la rédaction d’articles vides de contenu qui ne font que nuire à la réputation de la profession juridique.
>
> Vous avez raison, mais ce qu'elle est belle tout de même... Bye. Bruno B.
Bruno B., tu es pissant mon gars!! LOL
(Prière de ne pas juger la qualité de ma syntaxe et de ma grammaire. Merci.)
Amoureuse de la langue
il y a 15 ansMadame Salehabadi,
Le sujet de votre chronique est fort pertinent, mais je suis un peu déçue de constater que votre texte est lui-même truffé d’erreurs orthographiques et syntaxiques. Pour trouver des perles, sans doute devriez-vous commencer par relire vos propres mots? Quelques exemples:
"Tiens je ne vais même pas causer des procédures déposées à la greffe" (À LA greffe? Vraiment?)
"Ceux dont les clients (qui paient de gros sous), sont copiés dessus" (Euh... SUR quoi les clients sont-ils copiés au juste?!)
"Nous recevons tous de ces lettres de confrères où vraiment on se demande […]" (Des lettres OÙ on se demande? Mauvais choix de coordination peut-être?)
"[…] l'honorable juge Verrier reproduit in extenso une lettre que Me Gagné aurait envoyé à Me Dominique Launay […]" (il faudrait réviser vos règles sur les participes passés… Jusqu’à preuve du contraire, le mot "lettre" est féminin, donc : envoyÉE)
"Me Gagné semble particulièrement y affectionner les phrases-fleuves […]" (bien que interminable, elle est tout de même bien écrite cette phrase!)
Et que dire des courriels échangés dans ce milieu? Cela fait peur parfois…
Anonyme
il y a 15 ansAvec la robe style matelot et l'utilisation du terme «la greffe», pensez envoyer votre cv à Elle Québec. Des commentaires de ce genre envers une consoeur sont inadmissibles.
Anonyme
il y a 15 ans> Avec la robe style matelot et l'utilisation du terme «la greffe», pensez envoyer votre cv à Elle Québec. Des commentaires de ce genre envers une consoeur sont inadmissibles.
Vous avez raison, mais ce qu'elle est belle tout de même... Bye. Bruno B.
Anonyme
il y a 15 ansÉtait-il vraiment nécessaire d'identifier un ou des auteurs?
Par ailleurs, je crois qu'il faut être de mauvaise foi ou ignorer les règles de base de la langue française pour ne pas reconnaître que le paragraphe cité par Mme Salehabadi constitue un exemple typique de rédaction lourde et confuse.
Soulignons par contre que le cas est bénin, il y a bien pire (et trop souvent).
Anonyme
il y a 15 ansSi Amélia a fait quelques coquilles dans son article, c’était voulu, bande de naïfs, car le but c’est de vous faire réagir sur le Blog !!En tout cas, elle a réussi, elle est très bonne !
Anonyme
il y a 15 ansMe Salehabadi,
Avez-vous pensée à écrire un article sur le manque de courtoisie entre consoeur. Vous pourriez y citer en exemple votre article d'aujourd'hui.
Je suivais avec intérêt vos encarts, mais aujourd'hui je suis déçu de constater que vous appartenez à cette classe de juristes qui s'amusent à alimenter les mauvaises relations entre confrères.
Le pire, c'est que je suis persuadé que vous êtes fière de votre commentaire. Je n'aimerais pas mener un dossier avec vous. Ce doit être épuisant.
Nous faisons partie d'une confrérie et nous nous devons d'être minimalement courtois.
Signé: un confrère tanné de voir ses consoeurs agir comme vous le faites.
Anonyme
il y a 15 ans> Était-il vraiment nécessaire d'identifier un ou des auteurs?
>
> Par ailleurs, je crois qu'il faut être de mauvaise foi ou ignorer les règles de base de la langue française pour ne pas reconnaître que le paragraphe cité par Mme Salehabadi constitue un exemple typique de rédaction lourde et confuse.
>
> Soulignons par contre que le cas est bénin, il y a bien pire (et trop souvent).
Alors pouvez-vous simplement identifier les règles de base de la langue française auxquelles vous faites référence?
Anonyme
il y a 15 ans> Avec la robe style matelot et l'utilisation du terme «la greffe», pensez envoyer votre cv à Elle Québec. Des commentaires de ce genre envers une consoeur sont inadmissibles.
Pourquoi?
Anonyme
il y a 15 ansalors au nom de la 'confrerie' il ne faut pas souligner les maladresses des uns et des autres?
Ici il ne s'agit que du français , mais je vois déjà le raisonnement. Bravo. J'aimerai bien savoir ce que les clients en penseraient.
Elle a tout à fait raison de dire que c'est lourd et assez mal écrit.
Moi j'ai du relire plusieurs fois pour comprendre.Très confus. Elle a aussi raison de dire que cela est d'autant plus surprenant que cela soit acceptable de la part d'une avocate qui est de surcroit une associée.
c'est vraie qu'il y a pire et il me semble bien qu'elle dise, un exemple parmi tant d'autres...
Mais c'est mal écrit. C'est un fait. Puis au taux horaire chargée' Me Gagné pourrait se forcer un peu.
Anonyme
il y a 15 ans> alors au nom de la 'confrerie' il ne faut pas souligner les maladresses des uns et des autres?
>
> Ici il ne s'agit que du français , mais je vois déjà le raisonnement. Bravo. J'aimerai bien savoir ce que les clients en penseraient.
>
>
> Elle a tout à fait raison de dire que c'est lourd et assez mal écrit.
>
> Moi j'ai du relire plusieurs fois pour comprendre.Très confus. Elle a aussi raison de dire que cela est d'autant plus surprenant que cela soit acceptable de la part d'une avocate qui est de surcroit une associée.
>
> c'est vraie qu'il y a pire et il me semble bien qu'elle dise, un exemple parmi tant d'autres...
>
> Mais c'est mal écrit. C'est un fait. Puis au taux horaire chargée' Me Gagné pourrait se forcer un peu.
Vous êtes-vous simplement posé la question à savoir pourquoi le juge Verrier a repris in extensio la lettre en question? Lui, il l'a visiblement comprise et lui a donné tout le crédit qu'elle méritait. Demandez à la cliente ce qu'elle pense de la lettre.....et du jugement. Et de grâce, réfléchissez avant de parler (ou d'écrire)!
Anonyme
il y a 15 ans> > Avec la robe style matelot et l'utilisation du terme «la greffe», pensez envoyer votre cv à Elle Québec. Des commentaires de ce genre envers une consoeur sont inadmissibles.
>
> Pourquoi?
Parce qu'ils sont dénigrants, gratuits et non fondés. Vous devriez relire votre code de déontologie!
Anonyme
il y a 15 ans> alors au nom de la 'confrerie' il ne faut pas souligner les maladresses des uns et des autres?
>
> Ici il ne s'agit que du français , mais je vois déjà le raisonnement. Bravo. J'aimerai bien savoir ce que les clients en penseraient.
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> Elle a tout à fait raison de dire que c'est lourd et assez mal écrit.
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> Moi j'ai du relire plusieurs fois pour comprendre.Très confus. Elle a aussi raison de dire que cela est d'autant plus surprenant que cela soit acceptable de la part d'une avocate qui est de surcroit une associée.
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> c'est vraie qu'il y a pire et il me semble bien qu'elle dise, un exemple parmi tant d'autres...
>
> Mais c'est mal écrit. C'est un fait. Puis au taux horaire chargée' Me Gagné pourrait se forcer un peu.
Si vous avez dû relire plusieurs fois, c'est peut-être parce que vous ne savez pas lire des phrases de plus de 10 mots.
En tout cas, avec le raisonnement que vous tenez et les fautes d'orthographe dans votre mot, je présume que vous ne voudrez pas devenir associé(e)....
Le juge semble, lui, avoir compris suffisamment la lettre pour la reproduire et donner raison en totalité à Me Gagné.
Sa cliente doit sûrement retenir ce résultat plutôt que ce verbiage à la con sur la longueur de sa phrase et ce genre de jugement hautain et méprisant trop fréquemment véhiculé par notre hypocrite "confrèrie".
Anonyme
il y a 15 ans>
> Vous êtes-vous simplement posé la question à savoir pourquoi le juge Verrier a repris in extensio la lettre en question? Lui, il l'a visiblement comprise et lui a donné tout le crédit qu'elle méritait. Demandez à la cliente ce qu'elle pense de la lettre.....et du jugement. Et de grâce, réfléchissez avant de parler (ou d'écrire)!
Ne deplacez pas le débat!!!!Me Salehabadi parle de la qualité du français.
Pas des capacités juridiques de l'avocate en questtion.
sachez lire
Anonyme
il y a 15 ans>
> >
> > Vous êtes-vous simplement posé la question à savoir pourquoi le juge Verrier a repris in extensio la lettre en question? Lui, il l'a visiblement comprise et lui a donné tout le crédit qu'elle méritait. Demandez à la cliente ce qu'elle pense de la lettre.....et du jugement. Et de grâce, réfléchissez avant de parler (ou d'écrire)!
>
> Ne deplacez pas le débat!!!!Me Salehabadi parle de la qualité du français.
> Pas des capacités juridiques de l'avocate en questtion.
> sachez lire
relisez la lettre au complet et dites-moi quelle(s) règle(s)de français aurait(ent) été bafouée(s). Et surtout n'hésitez pas à faire référence au Bescherelle!
GBS
il y a 15 ans>Le juge semble, lui, avoir compris suffisamment la lettre pour la reproduire et donner raison en totalité à Me Gagné.
Le juge n'a pas donné raison à Me Gagné sur toute la ligne.
Comme c'est courant dans ce genre de dossier, la partie du loyer qui n'est pas contestée doit être déposée pour en garantir le paiement.
Pour en revenir à l'article lui-même, j'aurais aimé voir des exemples amusants. Je dois avouer que le seul exemple donné est décevant, surtout qu'on reproche quoi? D'utiliser des virgules?
Entre le télégraphe et le "wall of text", il existe de nombreux cas qui ne sont pas des erreurs, mais qui sont simplement sujets à des critiques artistiques un peu vaines.
Anonyme
il y a 15 ansEn baisse cette semaine: Me Amélia Salehabadi qui manque de dignité envers ses confrères et la profession.
Anonyme
il y a 15 ans> >Le juge semble, lui, avoir compris suffisamment la lettre pour la reproduire et donner raison en totalité à Me Gagné.
>
> Le juge n'a pas donné raison à Me Gagné sur toute la ligne.
>
> Comme c'est courant dans ce genre de dossier, la partie du loyer qui n'est pas contestée doit être déposée pour en garantir le paiement.
>
> Pour en revenir à l'article lui-même, j'aurais aimé voir des exemples amusants. Je dois avouer que le seul exemple donné est décevant, surtout qu'on reproche quoi? D'utiliser des virgules?
>
> Entre le télégraphe et le "wall of text", il existe de nombreux cas qui ne sont pas des erreurs, mais qui sont simplement sujets à des critiques artistiques un peu vaines.
Le juge a donné raison sur toute la ligne à la cliente de Me Gagné, relisez le jugement! Très mauvais choix de dossier pour une attaque aussi gratuite à la réputation d'une consoeur.
Anonyme
il y a 15 ansEn théorie, est-ce qu'une attaque féline semblable constitue un acte dérogatoire à l'honneur ou à la dignité de la profession?
En pratique, critiquer une consoeur sur un blogue juridique dénote un certain manque de jugement et de professionalisme. Vous me répondrez sûrement que vous avez émis ce commentaire sous le chapeau de la "journaliste"? Et bien, faites nous grâce et enlever votre deuxième chapeau d'avocate. It does not look good on you honey!
Manque de classe flagrant. Décevant.
anonyme
il y a 15 ansAllons allons... Est-ce vraiment un manque de classe et/ou de déontologie de dénoncer publiquement la piètre qualité du français chez certains avocats lorsqu'on fait nous-mêmes partie de la profession? L'exemple donné par la journaliste était peut-être maladroit et mal choisi, mais le propos reste très pertinent! Cessez de jouer à l'autruche... On n'a qu'à lire les commentaires écrits sur ce blogue pour constater que certains avocats ont grandement besoin de réviser leurs règles de grammaire!
Anonyme
il y a 15 ansAttaque feline?
Ces propos sont bien plus graves que les propos de Me Salehabadi.
Réduire ses propos à une cat-fight entre femmes, hum pas fameux
Anonyme
il y a 15 ans> Avec la robe style matelot et l'utilisation du terme «la greffe», pensez envoyer votre cv à Elle Québec. Des commentaires de ce genre envers une consoeur sont inadmissibles.
Ce ne sont pas des commentaires mais l'opinion d'une chroniqueuse.
Alors les histoires de consoeur ou de confrères sont plutôt très dépalcés.
Me Salehabadi a le courage de commenter sur des maladresses d'avocats dans leurs expressions françaises. Il y aurait-il une omerta parmi les avocats, qui dicterait ce que des avocats-journalistes pourraient dire?
C'est n'importe quoi.
Anonyme
il y a 15 ansJe vous cite: "Et si le Barreau obligeait les avocats, dans le programme de formation continue, à prendre un minimum de cours de grammaire française, avec un examen en fin de compte?Question de dignité de la profession des avocats..."
Mon conseil : suivez donc vos propres conseils ! J'ai rarement lu une chronique sur le français comportant autant de fautes...De plus, votre choix d'exemple est un mauvais choix: la lettre avait l'avantage d'être claire, vos propos, moins.
Anonyme
il y a 15 ansILS SONT TOUT À FAIT FONDÉS.
lA PHRASE EST BEAUCOUP TROP LONGUE.INDIGNE D'UNE AVOCATE.
SINON SI POUR VOUS CELA EST ACCEPTABLE= NIVELLEMENT PAR LE BAS
CE QUI SE CONCOIT CLAIREMENT, S'ÉNOONCE CLAIREMENT ET LESMOTS POUR LE DIRE ARRIVENT AISEMENT.
> >
> >
Anonyme
il y a 15 ansJe me demande bien ce que Me Bouchard compte faire après ces attaques si publiques.
Dommage qu'il n'ai pas répondu à Me Salehabadi. Cela aurait été bien interesant.