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Ouverture du procès civil concernant l'héritage d'Arturo Gatti

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Agence Qmi

2011-09-06 16:00:00

Un notaire qui avait aidé Arturo Gatti et sa femme brésilienne à rédiger leur testament quelques semaines avant la mort du boxeur affirme que l'athlète ne subissait pas de pressions pour le signer.
Me Moidel est le premier témoin du procès civil
Me Moidel est le premier témoin du procès civil
Bruce Moidel est le premier témoin au procès civil qui s'est amorcé aujourd'hui à Montréal afin de régler la question de l'héritage de plusieurs millions de dollars de M. Gatti.

Devant le tribunal, Me Moidel a indiqué qu'il avait suggéré au couple de mettre leurs testaments à jour lorsqu'il a appris qu'ils voyageraient sans leur jeune fils. Il a ajouté que le couple qu'il a rencontré en juin 2009 semblait heureux et normal.

La veuve de M. Gatti, Amanda Rodrigues, et la famille du boxeur sont engagés dans une féroce dispute concernant l'héritage du boxeur. Au cœur du débat: la validité de deux testaments désignant des bénéficiaires différents.

Me Moidel a déclaré qu'il n'y avait pas de raison de croire que le boxeur ne savait pas ce qu'il signait.

En plus du testament, M. Gatti a également accepté de signer un document qui offrirait 1 million de dollars à sa femme si jamais il lui était infidèle.

Les avocats de la famille Gatti affirment que le boxeur ne comprenait pas ce qu'il signait en 2009, et que c'est le testament antérieur qui est valide.

Arturo Gatti a été retrouvé mort, à l'âge de 37 ans, en juillet 2009, dans un appartement qu'il louait avec sa famille dans la station balnéaire de Porto de Galihnas, au Brésil.

Les autorités brésiliennes ont tout d'abord affirmé que Mme Rodrigues était la principale suspecte dans le décès de son mari, mais l'ont ensuite relâchée lorsqu'une autopsie a révélé qu'il s'était suicidé. Le rapport indique que M. Gatti s'est pendu avec une courroie de sac à main attachée à une poutre d'escalier dans leur appartement.

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2 commentaires
  1. Polaire
    Polaire
    il y a 13 ans
    Brésilienne
    Une autre histoire de femme brésilienne? Coudonc! Qu'est-ce qu'elles mangent là-bas?

  2. DSG
    Shameful proceedings
    Part of the plaintiff’s argument, which will eventually surface, is that Arturo was murdered by the defendant. Nevertheless, on Friday the plaintiffs offered a settlement to the person they accuse of killing of Arturo; said settlement being to split the estate equally. Now, if you truly believed that someone killed your son or brother, would you offer to split his estate with the murderer?

    Unless you don't believe that that person is the murderer, or unless you're a scumbag, the answer is no. So either it’s a case of people abusing the courts to squeeze some money out of someone, or an example of people unable to accept being cut out of a will.

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