Le business du sexe des avocats

Céline Gobert
2011-09-20 14:15:00
|The Careerist].
A l’instar de Ben Seisler, jeune étudiant en droit fauché, qui pour gagner un peu d’argent n’a pas hésité à faire un détour par la banque du sperme.
Il y a dix ans, ce dernier gagnait 150 $ par don de sperme à la Cryobanque Fairfax en Virginie. Il lui fallait payer ses études de droit à l’Université Georges Mason. Pas le choix.
« Ils m’ont assuré que je resterai anonyme », déclare Me Seisler, désormais avocat à Boston.
150 $ pour quelques minutes, de l’argent rapide et facile.

Elle a commencé à servir des boissons, pour rapidement se mettre à danser. De serveuse à stripteaseuse.
« C’était un acte de désespoir. Il y avait de l’argent à faire, et c’est tout ce dont j’avais besoin », déclare-t-elle.
Des horaires flexibles elle en a, mais son salaire ne dépasse jamais les 50 $ de l’heure, les bons jours. Rien à voir avec la rentabilité du don de sperme donc.
Lorsqu’il s’agit d’utiliser son corps comme gagne-pain : mieux vaut-il être un homme ? Hum, pas sûr.
Conséquences

« Qu’allons-nous faire demain s’ils viennent tous toquer à notre porte ? » demande-t-elle à son mari.
L’avocate stripteaseuse, quant à elle, semble bien plus satisfaite de sa nouvelle vocation.
Elle affirme y découvrir la solidarité entre collègues, et une ambiance décontractée dont elle n’avait plus l’habitude.
« Je m’y sens mieux que dans n’importe quel cabinet pour lequel j’ai travaillé, dit-elle Mes collègues féminines ici me soutiennent, elles n’ont pas d’esprit de compétition. On ne pouvait pas en dire autant de mes collègues avocates ! »
Anonyme
il y a 13 ansEncore un article repris et totalement sans intérêt...
Magnus
il y a 13 ans"Encore un article repris et totalement sans intérêt.."
L'article fait surgir votre peur de devenir effeuilleuse ?
Parce que personnellement je 'ai trouvé intéressant à savoir ce que des gens semblables ayant étudié le même domaine ont fait.